Le journal Kairos fut l’un des premiers médias à signaler le problème majeur des tests PCR, qui conduiront à une gestion dramatique de la crise, étayée sur une vision totalement erronée de la situation sanitaire(1). En somme, et c’est très grave : les cycles d’amplification beaucoup trop élevés des tests PCR ont amené et mènent encore aujourd’hui à voir des « cas » partout, soit des malades, alors que la méthode des PCR ne « détecte que la présence des gènes du virus SARS-CoV‑2, mais en aucun cas n’ informe sur la condition physique de la personne testée(2)». Si celle-ci n’a pas de symptômes, un résultat positif au test n’indique rien en termes de maladie ou de contagion. « En conclusion, la PCR est un outil de confirmation diagnostique et pas un outil de screening de masse ». Martin Zizi, qui écrivait ses mots il y a plus d’un an, mettait déjà la communauté scientifique belge au défi d’apporter des preuves que ses explications étaient erronées. Depuis, personne ne l’a contredit, mais tous, scientifiques, médias et politiques, ont continué à faire la même chose, aboutissant à cette situation délirante où tout et son contraire peut s’exprimer, la vérité n’ayant plus aucune espèce d’importance, la fin justifiant les moyens (menaces, mensonges, contradictions…).
Instillant l’angoisse dans les foyers, se basant sur des chiffres de saturation d’hôpitaux dont les mêmes politiques diminuèrent depuis des années les moyens, empêchant la première ligne, les médecins généralistes, de travailler et prescrire librement, renvoyant par un effet logique les patients vers les centres hospitaliers et participant de cette saturation, interdisant ou dénigrant les traitements préventifs et curatifs, ils ont créé la crise de toutes pièces. Les gouvernements ont calqué leurs mesures politiques liberticides sur l’agenda industriel de la production vaccinale par la mafia pharmaceutique. Rien à faire dès lors des avertissements quant aux risques de leurs choix en regard de leurs bénéfices supposés, « on fera l’analyse après de quel a été le coût global de la pandémie covid et si les mesures qu’on a prises étaient les bonnes mesures ou pas » (cf. Conférence de presse du 24 mars). Ils ne le disaient pas, mais acceptaient de sacrifier des vies pour soi-disant en sauver. En vérité : sacrifier une jeunesse, des petits indépendants, les vieux, la vie sociale, ce qu’il restait de valeurs morales, nous mettre la tête au ras de l’eau pour nous faire sentir qu’on ne peut presque plus respirer et nous proposer alors la bouée de sauvetage : le « vaccin ».
Thérapie génique s’il en est dont les effets secondaires remontent et laissent ces pantomimes gouvernementaux encore silencieux, pour une maladie dont le taux de mortalité réel oscillait entre 0.3 et 0.6%. Soit, rien qui ne demandait de mettre à l’arrêt la société entière et de vacciner planétairement une humanité désormais prise dans une expérience grandeur nature.
Rien, si ce n’est l’argent, tenant compte de l’envolée actionnariale du vaccin et de la manne du test PCR pour des laboratoires qui en Belgique en réalisaient 600 à 2000 par jour, à 47€ le test…
Entretemps, le dernier « papers » en date est passé par là, retourné dans les valises de l’histoire aussi vite qu’il est arrivé, Pandora de son petit nom. Car il n’y a que les appellations qui changent, à l’image de ceux qui découvrent l’ouragan avant qu’il ne frappe et le baptise d’un prénom. L’évasion fiscale et les divers trafics tuent évidemment dans des proportions inégalées avec le Covid. D’ailleurs, la supercherie du Covid entre dans cette forme de criminalité organisée où, encore, financiers et politiques ont pu faire passer leurs intérêts avant tout. Et refourguer insidieusement leur très lucratif abonnement vaccinal à vie : « Un certificat de vaccination est valable pendant un an, à compter du jour de la vaccination »(3). Bientôt, incapable de taire les morts des vaccins, nous diront-ils qu’il fallait en tuer certains pour en épargner d’autres?
Combien de temps tout cela va-t-il encore occuper nos esprits et nos corps, alors que la vie passe, et ne passe qu’une fois ? Sous la trompeuse volonté gouvernementale de sauver tout le monde, cette « déontologie utilitariste » à deux sens(4), l’ordre politico-médiatique est parvenu à ce que le sujet fasse sien l’injonction gouvernementale à la vaccination. Il ne faut bien évidemment y voir aucune forme de solidarité dans une société où les « travailleurs sociaux », par exemple, pour ne citer qu’eux, s’emploient chaque jour à réparer, et donc pallier, les dégâts causés par des politiques iniques. On voit donc surgir ces « bons citoyens », prompts à obéir au chef quand cela les arrange, à « peu de frais »(5), mais qui ne trouvaient rien à redire quand ceux qu’ils écoutent aujourd’hui, hier retiraient des moyens aux hôpitaux, favorisaient les multinationales en leur permettant de ne payer aucun impôt (cf. Didier Reynders et les intérêts notionnels), ne mettaient et ne mettent toujours rien en œuvre pour démanteler la fuite fiscale, etc.
Il aura fallu des décennies de matraquage publicitaire (réclames ou discours politiciens), pour que le sujet ne soit même plus capable de percevoir ces contradictions évidentes, qu’ils acceptent que des firmes pharmaceutiques déjà plusieurs fois condamnées dans le passé refourguent leur produit via leurs délégués commerciaux aux commandes politiques.
Deux conditions ont rendu possible cette forfaiture étatique qui laissera des traces dans l’histoire et, souhaitons-le, mettra un jour les responsables politiques et ceux à qui ils obéissent, sur le banc des accusés(6) :
- une puissance médiatique parlant d’une même voix et se déclinant désormais sur des supports mobiles 24/24.
- Une société atomisée où le sujet, réceptacle des mensonges officiels, ne peut plus s’appuyer sur un tissu social hors matrice, pour faire de vrais choix. La liberté c’est l’esclavage, il faut dès lors une « société » désolidarisée pour que le sujet ne trouve plus que des ersatz de solidarité dans ces invitations spéciales à prendre soin les uns des autres.
Ceux qui sont issus des Boston Consulting Group (cf. Decroo), Mc Kinsey, Deloitte, dont le fonds de commerce est d’accroître la compétitivité, donc de se débarrasser de toutes les charges, n’ont aucune crédibilité à nous parler de ce qu’ils s’emploient chaque jour, par leur mesure, à détruire.
Leurs promesses ne sont que des linceuls qui cachent la mort qu’ils sèment.
À savoir, la déontologie « toute vie est sacrée » qui était avant l’ère vaccinale tout à fait trompeuse, mais présentée comme des plus altruistes est, à l’ère de la vaccination de masse, de l’utilitarisme qui ne dit pas son nom..
Enfin, ce qu’on leur en disait, qu’il était gratuit et rapide de se faire vacciner. Les frais réels arrivent…
Ce jour-là, la prison remplira une fonction réellement sociale : elle ne servira plus comme aujourd’hui à gérer la misère générée politiquement, mais à punir ces hommes qui par leur politique généraient l’iniquité.