The guardians of the media orthodoxy, who have largely participated in raising the collective anxiety about the epidemic due to the coronavirus, are well annoyed. Bernard Crutzen’s film, Ceci n’est pas un complot (online, free of charge, on https:// www.youtube.com/watch?v=HH_JWgJXxLM), interviews moderate people from different sides, does not launch into risky hypotheses, relays proven facts (these are mostly productions of the major Belgian media). Those who felt challenged were therefore forced to look for the small beast in what would be the hidden intentions of the director. Let’s take a close look at the sometimes surprising reactions of the media that we dared to question about their treatment of the SARS-CoV-19 epidemic.
DISTURBING, BECAUSE IT PUTS THE FINGER WHERE IT HURTS?
Let’s start with the zero degree of political analysis: Caroline Lallemand, journalist at Le Vif reacts on the spot (February 8) and begins her article with » a Belgian documentary with a hold-up sauc …
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On notera que, souvent, les titres et intertitres dus aux rédacteurs en chef des rubriques nient toutes les nuances qu’ont développées les journalistes dans le corps de l’article. Recherche du sensationnel ou orientation anxiogène voulue en haut lieu ?
6 Même si ce que l’on peut retenir, c’est que les propos des interviewés sont nuancés, le titre retenu se veut quelque peu méprisant : la vidéo « met en pelote le désarroi et le chagrin de tout un peuple » : https://plus.lesoir.be/357677/ article/2021–02-27/ceci-nest-pas-un-complot-met-en-pelote-le-desarroi-et-lechagrin-de-tout-un.
8 Extrait de l’article de la RTBF du 2 septembre 2020 : « Des conflits d’intérêts pointés. (…) le rapport pointe également un souci dans l’identification des experts officiels, en termes de conflits d’intérêts, de multidisciplinarité, représentativité, expérience : « Certains experts sont en lien direct avec des firmes pharmaceutiques, ce qui peut influencer les débats (ces personnes se retrouvaient entre autres dans le groupe de travail Testing). D’autres sont gestionnaires de sociétés privées de développement informatique et d’e‑santé, et ont pris le contrôle de certaines stratégies (le suivi de contact par exemple). » La commission spéciale devra, pour l’expert, rechercher ces possibles conflits d’intérêts « pour mieux comprendre ce qu’il s’est passé.… » https://www.rtbf.be/ info/dossier/epidemie-de-coronavirus/detail_que-dit-le-rapport-d-yves-coppieters-pour-la-commission-speciale-sur-la-gestion-du-coronavirus?id=10574411
