In politics, we have only friends and enemies. Some, friends or enemies, are there for a long time, others for the space of an action, of a movement. The interest of the pandemic is perhaps to sort out; it sheds light on the lack of ethical depth of some, who nevertheless occupy the media space to the point of saturating it. And then, the pandemic simplified the chessboard: either one adheres to the management of the pandemic, or one is a conspiracy theorist.
THE FANATICISM OF THE ONLY TRUTH
The continuation of the existing(1) is elevated to the rank of an ideology, but this ideology is not seen, for the simple reason that it is precisely « management » of the existing. It would therefore only be a matter of common sense, of obvious obligations such as » Take measures so that as few people as possible die from covid-19 « . From such an objective, so consensual in its expression, managing the existing is, necessarily, validated. This short-sighted management by technocrats in turn …
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Notes et références
- Nous considérons ici que la quasi-totalité des partis politiques, religions et sectes religieuses, groupes de pression ou de réflexion, ou encore les ONG œuvrent tous à la « continuation de l’existant », et que face à eux, seuls les « utopistes », les partisans de l’insurrection, et quelques autres n’ont que faire de cette continuation d’un existant qui nous opprime et détruit le Vivant.
- Des sources de la connaissance et de l’ignorance, Payot, 1960.
- Voir le livre-outil que nous avons consacré à cette question, Croire ou pas aux complots ?, avec des dessins de Vincent Odin, Le Calicot, 2018.
- Ce dernier aspect est souvent sous-évalué, alors qu’il est crucial, en réalité.