Révolution, révolte, rébellion… Ou désobéissance civique?

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Caramba ! Le monde d’après n’est pas encore arrivé. Les start-up nations, quoi qu’il en coûte (coucou Manu) et en espérant des jours meilleurs (qui doivent avoir essayé de prendre un avion au moment où un vieux volcan se réveillait), la thune s’allonge, les gouffres financiers s’agrandissent, les États capitalistes se vident les poches et c’est sous les yeux de millions, de milliards de personnes, que les poches se créent.  En attendant que les imprécations, la multiplication des mantras et les appels répétés à la peur, à la résilience, aux yaka et aux faukon (à la différence des vrais, qui gouvernent toujours) et à la vigilance portent leurs fruits (mon petit doigt me dit que ce n’est pas forcément gagné), de multiples mouvements naissent, ici et là, se revendiquant de plein de motifs différents et revêtant quatre noms (au moins) emblématiques mais pas du tout synonymes. Et si on prenait un peu de hauteur pour les observer à la loupe d …
  1. Suivez mon regard, jusqu’au Palais de l’Elysée. Il doit bien y rester quelques exemplaires de cet ouvrage dans le bureau de Brigitte.
  2. L’Homme révolté. On peut le trouver facilement, à côté de Révolution, dans le bureau de Brigitte ou dans les meilleures librairies, désormais considérées comme essentielles, Alleluia !
  3. « La dictature, c’est « ferme ta gueule », la démocratie, c’est « cause toujours » Coluche.

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