Tout va bien en 2024, on espère en tous cas, ce sont les premiers jours… Dans le réel pourtant, le souhait n’a pas sa place. Car pendant qu’on espère, ceux qui agissent sont à Davos, vous préparant le futur. Et leurs plans feront couler du sang et des larmes. Certains diront : quel pessimisme, il fait advenir le réel qu’il présage. Faux. Il est déjà là. Qu’est-ce qui ferait en effet que la mère maquerelle de la Commission, se dirait en 2024 : « tiens, cette année, j’ai décidé de penser autrement, d’être une femme de valeur et de défendre le bien commun, de révéler mes petites frasques avec Bourla ». VDB aussi, en 2024, révélera-t-il le contenu de ses mails, ce qui permettra peut-être de comprendre pourquoi le mot vaccin était devenu itératif dans sa bouche dès 2020. Et en même temps, pourquoi ne pas rêver ? Soyons positif, 2024 serait l’année des révélations sur l’Affaire Dutroux, les tueurs du Brabant, etc., celle où ceux qui nous mentent, nous volent, nous culpabilisent… avoueront toutes leurs manigances.
Ah, croire ! Espérer… Alors qu’il suffit de refuser d’obéir à tous ceux-là, qui occultent, censurent, tuent, et vous voilà libres ! Le pessimisme, c’est l’espoir du pauvre ; pour l’intellectuel non biberonné aux idéologies universitaires, le pessimisme, c’est un optimisme éclairé. C’est ce qu’il reste, quand tout est bouché, quand on a l’impression de crier dans le désert, quand on vous dit de voir le positif dans une décharge, alors que ceux qui profitent de la pourriture ne veulent qu’une chose : que vous focalisiez votre attention sur ces petites mesures cosmétiques, pendant qu’eux continuent leur destruction de masse. Bill Gates à la pompe à bière avec De Croo à la Belgium House à Davos, pendant qu’en coulisse DEME, Fluxys ou Syensqo signent des contrats, et qu’ils vous préparent la fin du cash, la prochaine pandémie ou le crédit social. Et tout ce qu’ils veulent, c’est que vous reteniez Gates à la pompe à bière, surtout pas que vous vous demandiez ce qui se passe dans les coulisses.
Relativise certains me diront ! C’est vrai que quand je m’endors dans une chambre à plus de 15 degrés, dans des draps propres, sentant la chaleur réconfortante de ceux que j’aime… tout n’est pas si mal. Foutue empathie non, que de s’imaginer que tous ne vivent pas la même chose, que meurent à l’instant femmes, hommes, enfants à Gaza, sous les bombes fascistes. Heureusement, la France accueille deux enfants palestiniens. Certains diront qu’il faut être positifs, c’est déjà ça non, deux c’est plus que zéro ou un. Mais la France, en février 2023, comptait plus de 100.000 réfugiés ukrainiens sur son territoire. « Oh oh oh, tu insinues quoi ? Quelle comparaison !», me dira-t-on ? C’est clair, non : les gouvernements ne sont pas solidaires, mais sélectionnent leurs réfugiés de manière partiale, donc pas nécessairement ceux qui sont le plus dans le besoin, mais ceux qui constituent le plus une arme ou un levier politique. Demandez aux médecins ou infirmiers d’un hôpital public bruxellois la différence de niveau socio-économique entre des réfugiés syriens et des réfugiés ukrainiens.
Soit, le fascisme n’est pas à droite, il est dans nos gouvernements. Gouverne et ment, et tu réussiras en politique, seras reçu par les médias du pouvoir. Si, en plus, tu traites de complotistes ceux qui ne pensent pas comme toi, gramophone du discours politico-médiatique, alors sois assuré d’avoir la gloriole. Et tu pourras te mentir, te dire tous les soirs en t’endormant : « nous sommes tout de même dans le moins pire des mondes ».
Et la masse, elle s’engraisse, c’est son principe. Pendant ce temps, d’aucuns attendent le sauveur : Trump… Trump… Trump… qui fera tout basculer. Le messie. Ils n’ont pas vu que le pouvoir était en eux, que d’accepter de sacrifier quelque peu leur vie pour leurs idées pourraient en réveiller d’autres. Les possibilités de changement véritable ne se mesurent qu’à la capacité qu’un nombre suffisant d’individus choisissent de dire non, même si chacun pense être seul à le dire.
Les premiers qui crièrent « Kairos, Kairos, Kairos… », en manif, une fois le coup d’état sanitaire provisoirement passé, ont pour beaucoup repris le cours de leur vie. C’est normal. Mais dites-moi que vous n’étiez pas uniquement là pour vos droits ? Il y avait bien un sentiment de révolte, une envie de s’unir contre la folie de ceux qui sous prétexte de nous gouverner nous conduisent au chaos en se goinfrant. Il y avait bien un instinct de survie, mais aussi un instinct altruiste de sauver autre chose que soi, non ?
Ceux qui haïssent la vérité nous ont traités d’extrême droite, d’antisémites, de transphobes. Ils nous ont privés de l’argent public qui nous permettait de payer presque deux temps plein pour vous informer. Maintenant, ne nous donnant plus rien, ils ont augmenté l’enveloppe des autres Wilfried, Médor, Imagine… Ils ont fermé notre chaîne YouTube parce que, selon leurs dires, nous mettions la vie des utilisateurs en danger, alors que des chaînes ultra-violentes ou d’une bêtise grandiose demeuraient ouvertes.
On pouvait dire que les insultes ne nous touchaient pas directement, que je pouvais me regarder dans la glace, regarder mes enfants, sachant que j’œuvrais pour le bien. Évidemment, je sais qui je suis, j’exècre le racisme, l’intolérance, l’injustice et la bêtise, tout comme tous ceux qui travaillent chez Kairos. Mais ces mensonges ne sont pas sans effet : « médisez, médisez, il en restera toujours quelques chose »… des correcteurs de Kairos ont arrêté parce que nous avions été couvrir la 100ème du Conseil supérieur indépendant à Saintes, et que des gens leur disaient que c’était un rassemblement d’extrême droite. Que dire alors de l’effet de ces diffamations sur les lecteurs de Kairos ? Il suffit de stigmatiser, mentir, pour jeter l’opprobre, même si c’est un mensonge, pour que des gens prennent peur. Peur d’être assimilé à Kairos. Mais vous n’avez pas compris ? Pourquoi pensez-vous qu’ils usent et abusent du terme « complotiste », si ce n’est pour décrédibiliser l’adversaire ?
Et c’est vous qui payez, avec vos impôts, ceux qui vous désinforment et vous dénigrent chaque jour.
L’humanité continuera sans Kairos, évidemment, mais que ce soit pour nous ou d’autres pourfendeurs du réel que la caste médiatico-politique nous impose, si cela continue, il n’y aura un jour plus de cailloux dans leur chaussure. Se passera alors certainement ce qu’Orwell avait prédit dans 1984 : « « Si vous désirez une image de l’avenir, imaginez une botte piétinant un visage humain… éternellement. »