« Y’a des gens qui disent : “on est cernés par les cons”. C’est vrai, mais on se rend pas compte à quel point. »Coluche
À l’ère des commentaires sur réseaux sociaux, sortes de substitut à une agora qui n’existe plus — réseaux sociaux qui sont au débat ce que le journal télévisé est à l’information —, ce n’est pas une ligne éditoriale que nous demandent de tenir certains lecteurs, mais un câble idéologique. Sortez du rail et vous serez bannis, le lecteur vous prévenant qu’il se désabonne illico et ne vous suivra plus. Le problème, dans le cas présent : la diversité des opinions dans un contexte binaire où le débat est banni. Les uns ayant acquiescé au narratif covid ou pas ; fustigé Poutine ou réalisé que l’intervention en Ukraine n’était qu’une énième manifestation de l’impérialisme américain ; considéré que l’éducation sexuelle à l’école (cf. Evras en Belgique) était la bienvenue, d’autres que ses fondements …
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- Un soutien qui pour ces détracteurs se limite souvent à un « like » ou un « clic »,
n’ayant pas compris que ça ne fait pas vivre la presse libre. - On peut se demander ce qu’ils feraient s’ils avaient à leur disposition les outils
permettant de censurer… - https://www.kairospresse.be/la-figure-du-monstre-ou-la-pensee-embrigadee