Cet été, le Kairos « Hebdo » s’écrit, pour que ce que nous avions mis en mots et en images dès ce printemps dans un nouveau format, se rappelle à vous. Car on a vite fait d’oublier l’actualité, or se souvenir de ce qui a été permet de mieux saisir le présent et de se préparer à l’avenir, et même, peut-être, d’y participer.
Nous savons maintenant, en tout cas pour ceux qui doutaient encore, que le Covid-19 et ce qu’il est devenu sont des constructions sociales, éminemment politiques, qui ont façonné la conscience collective, — enfin l’inconscience collective -, en érigeant des représentations d’une situation totalement détachée du réel. Ces représentations ont été alimentées en permanence pour s’auto-confirmer dans une boucle politico-médiatique dont on se demande encore comment elle peut continuer à tourner en rond, sans donner le tournis et nous faire vomir.
Qui croit encore en leur vérité du jour contredite quelques semaines après? Alors, par exemple, qu’ils nous promettaient le vaccin sauveur, et que cette injection ne se révèle capable de rien, si ce n’est tuer et rendre malades ceux qui pour la plupart se sont fait piquer, vivement encouragés par l’État pour échapper aux conditions que ce même État avait lui-même mises en place. Ils ne perçoivent même plus leurs contradictions, baignés dans les apories, marionnettes d’un spectacle qu’ils confondent avec le réel : ainsi, en couverture du Soir, qui porte bien son nom et continue à nous endormir, ce mercredi 29 juin, on lisait dans l’édito, où l’on nous annonçait que « la nouvelle vague de contamination était bien lancée », « Ce virus, on le connaît maintenant. Avec les tests, la vaccination, les masques, la prudence et le bon sens, on sait comment le repousser, chacun à notre niveau, selon notre degré de vulnérabilité. »
Pourtant, sur la même page, on lisait aussi « Le Covid risque de pourrir l’été sportif » : « Finaliste en 2021, l’Italien Matteo Berrettini a dû déclarer forfait pour le tournoi de Wimbledon, lundi. En cause : le covid. Le coureur belge Tim Declercq, lui, ne sera pas au départ du Tour vendredi. Pour la même raison. L’été sportif sera-t-il pourri par le covid ? »
On sait maintenant que le vaccin ne protège pas du Covid, mais surtout réduit l’immunité naturelle et rend les vaccinés vulnérables au Covid, et les rend donc malades. S’il y en a plus, c’est aussi pour cette raison, mais aussi parce que les gens se testent pour partir en vacances, et que les tests PCR voient du Covid partout.
Sans l’obsession covidienne des médias, tout irait bien. Comme tout se serait bien passé dès mars 2020 si le nouvel ordre mondial, via ses officines gouvernementales, n’avait mis en place confinement, couvre-feu et masquage de la population, qui ont tué bien plus qu’une maladie que la liberté thérapeutique et la reconnaissance des traitements existants auraient fait passer comme une lettre à la poste… Enfin, la poste avant qu’on la privatise! Fermez-la donc médias criminels, et allez creuser là où ça fait mal. Parcourir le site de Kairos, qui vient de se refaire une beauté, pourra vous inspirer.
Vous y verrez notamment les 5 épisodes de Pierre Lecot(1), qui nous démontre brillamment, avec « leurs » chiffres, puisque ce ne sont que ceux fournis par les agences « reconnues », qu’il n’y a eu aucune hécatombe de morts en 2020 et 2021, que les hôpitaux n’ont jamais été saturés, qu’il n’y a pas eu plus de malades que les autres années. Et enfin, le quatrième épisode fondamental d’une série qui en verra neuf, qui montre comment les codifications particulière des malades en hôpital ont été imposés par l’OMS ; hôpitaux qui sont devenus des usines administratives générant des patients Covid sur papier pour faire rentrer de l’argent indispensable à leur survie, alors que depuis des décennies les gouvernements programmaient leur mort.
C’est un véritable système qui a permis à l’illusion pandémique de prendre. Des industries médiatiques copistes de quelques agences de presse, propriétés des plus grosses fortunes, disant ce qu’il faut dire ; des gouvernements courroies de transmissions des multinationales, occupés par des politiciens peu préoccupés du bien commun, mais plus de leur salaire et de leur avenir ; des hôpitaux moribonds, vulnérables et en sous-effectifs, structures bureaucratiques gérées par des managers en costume cravate, engagés pour rendre le soin rentable, voyant dans le Covid l’opportunité de faire rentrer de l’argent.
Pendant ce temps, ceux qui dégainaient leurs missiles quand l’URSS pointait ses ogives près de son territoire, grappillent des terres pour s’approcher de leur ennemi, soudoyant sans doute par quelques contreparties avantageuses une minorité de politiciens suédois et finlandais. Leurs sbires européens préparent les pénuries énergétiques et alimentaires de l’Europe, pendant que les producteurs de gaz de schiste américains s’engraissent. La guerre, ça a toujours du bon pour les plus nantis. Pendant ce temps, le Ministère de la vérité français nous annonce que le Ministère de la « Transition Énergétique », rouvrira des centrales à charbon.
Pour nous, êtres de parole, le réel n’est tangible que par ce qu’on en dit. Et les deux peuvent correspondre dès lors que l’on tente de regrouper les éléments factuels et de construire une forme de vérité. Mais ceux qui racontent l’histoire ne veulent pas qu’elle corresponde au réel, si ce réel ne les arrange pas. Anne-Laure Bonnel l’a appris à ses dépens, elle qui revenue d’Ukraine a ramené des images qui ne correspondaient pas au storytelling des médias de masse. Sentence : condamnée et accolée de l’écusson « extrême-droite ».
Extrême-droite dont seront aussi taxés ceux qui remettent en question l’injonction vaccinale, évoquent les morts et effets secondaires de leur promotion scandaleuse pour Big Pharma. Naturellement, les syndicats, qui ne sont plus un contre-pouvoir mais une annexe patronale, assimilent les manifestations qui ont eu lieu en Belgique à l’extrême-droite, comme si les dizaines de manifestants qui ont défilé étaient des fachos.
[FGTB] Les syndicats diront toujours non à l’extrême droite, mais oui aux gouvernements.
Dans le même temps, les perroquets médiatiques tenteront d’entourer d’une couche de vernis ce qu’ils ne pourront un jour plus cacher : ainsi, on lance une campagne de sensibilisation contre les maladies cardiovasculaires chez les femmes, alors qu’ils nous préparent la quatrième dose.
Dans le même conformisme, ils créeront une chaîne RTBF Ukraine.
Un auditeur commentera justement « je n’ai jamais vu une RTBF Yemen, Syrie ou Palestine ». Du spectacle, rien que ça. Ainsi, Greta Thunberg se rendait en avion au festival de Glastonburry pour interpeller le public et l’informer du précipice que nous approchons. Nous y sommes déjà Greta, et les fact chekers qui discutent la véracité de la photo prise après le festival [Glaston] noient le poisson, comme d’habitude : ce n’est pas parce que les bouteilles en plastique ont été bannies de ce festival et que désormais il a le label vert, qu’il est plus propre. Nous avons caché et exporté les déchets de ce monde. Le meilleur exemple étant la voiture électrique. En même temps, la Commission lance le « pédopiégeage », qui propose qu’un programme décortique les communications privées de 450 millions d’européens pour s’assurer de leur légalité sous prétexte de la cause inattaquable de la lutte contre la pédophilie. La lutte contre quoi ? Alors que la Belgique, terre d’accueil des réseaux, héberge également les institutions, on voudrait nous faire croire qu’ils vont lutter contre… Spectacle!
Les dirigeants ne sont pas devenus fous, l’époque nous révèle seulement ce qu’ils étaient déjà. Mais où va-t-on ?! Ainsi, la Chambre des représentants belge est amenée à se prononcer sur le projet de loi « relatif à la vaccination obligatoire des professionnels des soins de santé contre la Covid-19 » porté par le ministre de la Santé actuel, j’ai nommé Vandenbroucke, celui qui devrait ou bien être en prison ou bien dans une Ephad, bien que ce soit souvent la même chose. Le projet de loi a d’ores et déjà été validé par la Commission santé.
Ceux qui étaient applaudis dans une forme de rituel quotidien sorti tout droit des cerveaux-machines de McKinsey seront désormais virés sans sommation s’ils refusent d’obtempérer. Rendez-vous compte : obligés à injecter un produit dont on ne connaît pas la composition pour une maladie dont la gravité a été montée de toutes pièces, qui s’ils refusent, seront suspendus ? Êtes-vous devenus fous pour ne pas vous lever et vous révolter face à ce viol programmé ? Enfin, sortir au balcon la bière à la main, avec la musique comme ambiance, content d’être vivant, ça arrange bien ceux qui décident, et c’est plus facile que de se révolter contre ces derniers. Enfin, heureusement, il y en a encore pour qui courage et résistance veut dire quelque chose.
Ce sera la langue de bois, même pour les rares députés qui posent les questions que la Commission européenne préférait ne pas entendre.
Cette langue de bois qui nous laisse cette impression de parler avec des machines, de ne plus avoir un être humain devant nous, mais une chose qui n’a même pas écouté ce que nous avons dit.
Pendant ce temps, l’État ouvre son marché télécom et remplit les caisses. Tiens, l’État remplit les caisses… enfin prend des décisions qui rempliront les caisses des télécoms, ne soyons pas dupes : ils savent que le jackpot les attend. Et comme à l’habitude, ce sont eux qui décident, mettant en place une nouvelle technologie, inutile certes, sauf pour leur projet de numérisation totale de nos vies et de contrôle des populations, exit les risques pour la nature et notre santé. Exit la vie!
Enfin, quand il s’agit de faire des affaires, la santé on s’en fout. Alexander De Croo est même capable de parler avec des dissidents chinois du New Federal State of China (NFSC), explicitement opposés à l’injection Covid et dont le fondateur, Guo Wengui, affirme que « le désastre du vaccin va arriver ». Quand ça sent l’argent, les ennemis de nos ennemis sont nos amis. Et la cohérence, chez Alexander De Croo, ou ses copains, c’est à géométrie variable, donc inexistant. Le fifils à Herman est capable de m’affirmer suite à une question en conférence de presse que les injections Covid ne sont pas en phase expérimentale et de laisser ses collègues d’Univercells anciens de chez GSK, dire le contraire devant lui lors de l’inauguration d’une ligne de production de vaccins dans le zoning de Charleroi.
Enfin, ces vacances, écoutez-nous sans nous voir, avec nos podcasts.
Et surtout, lisez notre dernier numéro, Kairos 55.
Pour voir la vidéo d’origine: https://www.kairospresse.be/kairos-hebdo-n9/
