Kairos Hebdo 2

Cet été, le Kairos « Hebdo » s’écrit, pour que ce que nous avions mis en mots et en images dès ce printemps dans un nouveau format, se rappelle à vous. Car on a vite fait d’oublier l’actualité, or se souvenir de ce qui a été permet de mieux saisir le présent et de se préparer à l’avenir, et même, peut-être, d’y participer. 

On reconnaît le totalitarisme au zèle qu’il met à faire disparaître les informations qui le dérange et taire les voix dissidentes qui pourraient être entendues.

Mais qu’est ce qui le dérange et pourquoi ? L’énergie à cacher les faits démontre en premier lieu qu’il y a… quelque chose à cacher. Les personnes éprises de liberté et qui aiment porter la critique contre Kairos devraient donc se demander : pourquoi ceux que l’on appelle « nos dirigeants » ont partout crié à l’époque qu’ils voulaient sauver des vies et dans le même temps censurent aujourd’hui les individus qui informent du danger en cours, dans un objectif de prévention ? Imaginons un instant que tous ceux qui évoquent les effets secondaires et morts des injections se trompent. C’est peu probable, mais possible. Toutefois, le risque de les laisser parler est-il plus grand que celui de les écouter et vérifier la véracité de ce qu’ils disent ? Je vous laisse le soin de répondre à cette question…

Dans un déontologie feinte, ils nous disaient vouloir sauver à tout prix la moindre vie : ils confinaient, fermaient, distanciaient… pour nous protéger. Aujourd’hui, celui qui énonce les effets secondaires dramatiques des injections Covid, est directement censuré.

19 387 décès au 18 décembre 2021 et 1 275 634 effets indésirables dont 363 774 graves sur le site(1) de pharmacovigilance européen EudraVigilance.

Tout en sachant qu’à peine 10 % de ceux-ci remontent aux instances officielles, ce que le changement de nom des injections ne rendra pas plus facile. En effet ; MODERNA est devenu le « CX-024414 », PFIZER-BIONTECH s’appelle désormais « TOZINAMERAN », ASTRAZENECA est à présent « CHADOX1 NCOV-19 » et JANSSEN devient « AD26.COV2.S ».

S’ils cherchaient à protéger, ils chercheraient à comprendre, laisseraient les paroles s’exprimer librement. N’est-ce pas ?

Ils veulent que l’on oublie qu’ils avaient conditionné le retour à la « vie normale » à une vaccination qu’ils disaient sûre et efficace. En Belgique, les rapports de Sciensano(2), qui montrent ce qu’ils ne peuvent plus cacher et que la caste politico-médiatique interprète comme elle l’entend, parlent d’eux-mêmes : les triples dosés attrapent beaucoup plus le Covid, sont plus admis à l’hôpital, en Unité de soins intensifs et meurent largement plus.


Nous protéger ? Ils veulent surtout protéger les esprits de la connaissance, connaissance qui pourrait mener à la compréhension, et compréhension à la révolte. Avez-vous entendu qu’en Allemagne il y a tous les jours des manifestations, alors que des dizaines de milliers d’Ukrainiens arrivent en Europe, permettant au patronat allemand de renouer avec une situation passée d’absence de salaire minimum, de détruire ce qu’il reste de la résistance ouvrière, tout cela pour encore augmenter leurs profits. Et vous avez pu penser qu’ils en avaient quelque chose à faire des Ukrainiens ?

En Allemagne justement, où le média France Soir révélait qu’une des plus grosses caisses d’assurance entreprise prévenait des 244 576 cas pour lesquels il existe un soupçon d’effets secondaires des vaccins anti-Covid, mais que ces chiffres seraient très probablement sous-évalués.

À Shanghai, les gens sont confinés depuis plus d’une semaine et des images de gens qui crient à leur fenêtre circulent sur le net(3).

À quand chez nous ?

Mais crier suffit-il encore ? On se souvient des images de Network…


En France, les médias aux ordres ne s’offusquent pas que les soignants, applaudis avant, deviennent une fois qu’ils refusent de se faire vacciner, des parias de la société, suspendus et sans salaire. Sans parler de ceux qui se sont fait injecter de force. Ils pérorent encore autour d’élections spectacles qui verront s’opposer deux produits du système.

Quand les faits ne peuvent plus être cachés, il faut les détruire. On ferme nos chaînes, on limite les partages, on prive les gens de la possibilité de s’abonner à nos pages.

Les plateformes censées permettre le financement de projets alternatifs, ne soutiennent que ceux qui rentrent dans le cadre du système… pas Kairos, donc. Ulule et KisskissBankbank nous ayant refusé un financement participatif. Ils privatisent donc les couloirs de financement qui devraient être participatifs, comme les FaceBook et YouTube ont privatisé la parole publique, sous le seul prétexte d’être des entreprises privées auxquelles l’État a tout laissé faire.

Les inquisiteurs interpellent les librairies qui nous vendent pour leur mettre la pression afin qu’ils arrêtent de le faire. Ce sont les mêmes qui se gargariseront avec leur ouverture, leur liberté d’expression et leur volonté de faire autre chose. Ils font du Bio, mais à côté de l’industriel, rassurant pour les esprits bourgeois qui veulent continuer à faire comme avant mais avec bonne conscience, qui préfèrent ne pas voir trôner Kairos à côté de leur biscuits et pomme de terre sans pesticide. Färm ne nous vend donc plus…


« Nous avons constaté depuis quelque temps que au sein de l’équipe, ainsi que parmi la clientèle fidèle de notre magasin, nous ne partageons pas les mêmes valeurs que celles promues via certains articles de votre journal. C’est pourquoi nous décidons de mettre fin à la vente de votre journal dans notre magasin de Meiser ». 

L’heure des lâches…

Mélodie, fondatrice de la plateforme « Où est mon cycle »(4), auditionnée au Parlement européen et au Sénat français, ‑devant des élus qui pour la plupart, inféodés à leur parti, devront un jour payer pour leur crime de silence‑, a eu ce matin son ordinateur, son téléphone ainsi que celui de son compagnon, piratés. Les menaces, qui étaient latentes, se manifestent. Et elles risquent de devenir plus dangereuses.

Pour réduire le journalisme libre au silence, on commence par les techniques soft; on me prive de ma carte de presse, on nous demande de rembourser les subsides perçus précédemment, et on nous empêche de percevoir les prochains subsides…

Paradoxalement, le fait qu’ils nous coupent tout est bon signe. Cela signifie que nous faisons du bon travail.

Nous ne ferons rien sans vous. Nous ne sommes pas fous. Nous informons.

Pour retrouver la vidéo d’origine : https://www.kairospresse.be/kairos-hebdo‑2/

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