Emilie Saitas
Je vais être bien clair à ce sujet : il n’y a pas une once de sérieux dans l’article que je me propose de vous livrer et de vous délivrer. Ni grande vérité, ni gros mensonge, juste une digression que vous jugerez peut-être bienvenue en ces temps aussi lourds que moroses, aussi exaspérants qu’emplis artificiellement d’espoir.
L’autre jour, au cours d’une formation au demeurant fort sympathique — imaginez deux secondes : être chez soi, à sa table, devant un ordinateur, durant 4 heures presque sans pause ! — une discussion, au demeurant fort opportune, mit sur le champ d’échange une question aussi inattendue qu’intéressante (à vous de juger) :
« Et vous, vous avez eu votre vaccin ? »
Oubliez les réfugiés, les guerres au Yémen, au Congo, les attentats terroristes au Pakistan et au Burkina Faso. Négligez la perte d’une série de libertés individuelles et l’oubli des gestes qui font le sel de la vie socia …
Vous devez être abonné pour visualiser cette page.
Si vous êtes déjà abonné, veuillez-vous connecter.
Dans le cas contraire, abonnez-vous dès à présent.
Si vous êtes déjà abonné, veuillez-vous connecter.
Dans le cas contraire, abonnez-vous dès à présent.