Entretien avec Jean-Loup Izambert(1)
K : Vous avez collaboré avec de nombreux médias et écrit des ouvrages. Vous avez enquêté sur le plus grand krach boursier impliquant 40 banques européennes, sur le détournement de fonds du Crédit Agricole, sur l’ONU et plus récemment sur le virus et le président. Mais on va plutôt évoquer votre dernier ouvrage sur l’ivermectine.
J.-L. I. : Au départ, j’ai travaillé pendant plus d’un an avec Claude Janvier sur Le virus et le président où nous montrons comment le pouvoir politique en France instrumentalise la crise sanitaire, dont il est en partie responsable par la réduction des moyens financiers et humains du secteur de la santé. Ce pouvoir utilise l’épidémie pour dissimuler la crise économique et financière qui s’aggrave. Claude a travaillé sur le Nord, moi sur le Sud, en allant à la rencontre du personnel hospitalier dans les manifestations, mais aussi de commerçants, de dirigeants d’entreprises, de syndicats, ainsi que des gens ordinaires, après l’imposition du pass sanitaire. On a passé en revue les principales données de cette crise dans un livre qui va sortir en mai, avant les élections législatives en France. Le bilan se base sur 40 questions, dont l’une concerne l’ivermectine. Les médias dominants ne parlent pas de l’exemple de l’Inde, qui a vaincu l’épidémie de covid grâce à elle. Pourquoi alors ce médicament est-il bloqué par l’OMS, l’Union européenne et la Commission ? En France, j’ai recueilli des témoignages sidérants. Nous montrons aussi le combat de Jean-Charles Teyssèdre, l’avocat à l’origine de la première procédure pour essayer de faire sauter les verrous qui bloquent l’utilisation de l’ivermectine. Elle est interdite pratiquement et le Conseil de l’ordre poursuit les médecins qui la recommandent officiellement ou refusent de vacciner. C’est un cercle vicieux parce que d’un côté, il y a l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) qui n’interdit pas l’ivermectine et de l’autre côté le Conseil de l’ordre qui poursuit par exemple le docteur Gérard Baudru qui prouve que l’ivermectine fonctionne et permet de sauver des vies.
K : La même chose arrive ici à Pascal Sacré, Alain Colignon, David Bouillon et Laurence Kaiser, tous convoqués à l’Ordre des médecins. L’ivermectine est un sous-scandale du scandale général. Mais la plupart des gens ne savent pas ce qu’est l’ivermectine, utilisée depuis 40 années.
J.-L. I. : L’ivermectine est une molécule découverte en 1974 par les scientifiques Satoshi Omura et William Campbell. Ils se sont aperçus qu’elle soignait un tas de maladies parasitaires. L’Asie, l’Afrique, l’Amérique centrale et du Sud l’ont vite adoptée. Il y a encore des pharmaciens et des médecins qui la considèrent comme un simple médicament antiparasitaire, alors qu’au fil du temps on s’est rendu compte qu’elle était également anti-virale et efficace contre toute une série de coronavirus. Quand survient la pandémie de covid, certains scientifiques se sont aperçus qu’elle pouvait soigner à tous les stades de la maladie, ainsi que de manière préventive, ce qui est intéressant pour les personnels qui sont en contact régulier avec un public. Ces informations scientifiques sont difficiles d’accès pour les gens. Le professeur Alessandro Santa explique simplement que l’ivermectine agit en faisant un barrage entre le virus et les cellules du corps, ce qui la rend également efficace contre les variants.
K : Il est intéressant de noter que la plupart des pays de l’UE, dès le départ, ont fait le choix de suivre les directives de l’OMS et de ne pas utiliser l’ivermectine. Et cette décision va avoir des conséquences énormes…
J.-L. I. : Oui. J’ai pris l’Inde comme exemple, parce que c’est un laboratoire géant. Dans cette confédération composée de 35 États, 28 ont suivi la recommandation de l’OMS et les autres ont fait l’inverse, allant même jusqu’à distribuer de l’ivermectine dans tout un tas de lieux publics. Une avocate indienne dirige l’ensemble de ces procédures contre l’OMS et certains hauts fonctionnaires qui ont choisi d’ignorer l’ivermectine. On s’est aperçu que les États qui l’ont utilisée, dès la mi-2020, ont endigué l’épidémie, en diminuant les cas et en évitant des décès, surtout. Et c’est le contraire pour les autres États obéissants. Aux États-Unis, on obtient le même schéma avec l’utilisation des tests PCR, selon les États. Ceux qui l’utilisent le plus ont le plus grand nombre de cas, mais pas forcément le plus grand nombre de malades.
K : Le test PCR, c’est vraiment le talon d’Achille…
J.-L. I. : Oui, puisque celui qui l’a mis au point indiquait clairement que l’on peut lui faire dire n’importe quoi, et qu’il ne doit surtout pas être utilisé pour détecter une épidémie. Pour donner un exemple, le test PCR ne fait pas la différence entre un virus mort et un virus vivant, ni entre le covid et le virus de la grippe. Donc il ne peut pas dire si une personne est infectée, malade ou contagieuse. Avec une explosion du nombre de tests, on va avoir une explosion du nombre de cas. J’ai pris le cas de l’Inde pour montrer que les indications de l’OMS étaient complètement folles.
K : Les médias ne parlent pas de l’Inde, sauf des États qui ont appliqué le protocole de l’OMS. La désinformation continue.
J.-L. I. : Il faut parler de criminalité à propos des dirigeants de l’OMS. Quand il y a un médicament bon marché et efficace comme l’ivermectine qui permet de soigner la population et que l’OMS en déconseille l’utilisation au niveau mondial sur la base d’un rapport sciemment truqué, c’est très grave. Derrière, on retrouve les lobbies des vaccins, dont les fabricants ne connaissent pas les effets secondaires qui provoquent déjà aujourd’hui, alors qu’ils sont encore au stade expérimental, des millions de morts à travers le monde. Les informations commencent à remonter par la pharmacovigilance. Quand on suit la courbe du nombre de personnes qui se font vacciner et qu’on suit celle des décès ou des effets secondaires, le lien avec l’injection du vaccin est patent. Olivier Véran a lui-même reconnu devant le Conseil d’État que les personnes vaccinées étaient celles qui pouvaient être les plus affectées en cas de réinfection. Et dire qu’il y a encore des médecins de plateau en France qui recommandent de prendre la quatrième dose, celle qui va nous sauver, les trois premières n’ayant pas été efficaces !
K : Vous évoquez « une des plus grandes tromperies contemporaines organisées par un pouvoir politique, main dans la main avec des dirigeants de l’UE et les grands propriétaires de la finance et de l’économie ». Pour revenir à l’Inde, plainte a été déposée contre la scientifique en chef de l’OMS, accusée d’avoir causé la mort de citoyens, contre le directeur général de l’OMS et le directeur général des services de santé en Inde. Les plaignants osent parler de crime et de complot, c’est très intéressant…
J.-L. I. : Le complot est à la direction de l’OMS. Par exemple, l’ivermectine et le vaccin russe Spoutnik sont interdits en Europe occidentale. À la place, les gens à la tête de l’État français ont diffusé massivement des produits expérimentaux dont les fabricants ont exigé auprès de l’UE d’être déchargés des responsabilités financières et juridiques en cas d’effets secondaires. Ceux-ci ont jugé leur produit efficace à 95 %, pourtant le nombre de cas et de malades a continué à augmenter.
K : Le test PCR est certainement utilisé comme outil politique pour faire monter ou diminuer les cas et décider d’une politique sanitaire. C’est quand même incroyable !
J.-L. I. : Le bêtisier de la covid-19 serait à écrire. Je connais une septuagénaire qui, à force de regarder BFM TV, a été prendre sa troisième dose. Puis, elle ne s’est pas sentie bien pendant l’été, a fait un test, et elle était positive ! Ou c’est le vaccin qui est inefficace, ou c’est le test PCR, ou encore les deux. La personne peut aussi présenter une comorbidité.
K : Il est écrit dans votre livre : « Le constat est dramatique : nous ne pouvons plus compter sur les autorités sanitaires pour procéder à un examen honnête des preuves médicales et scientifiques. Nous demandons donc aux autorités régionales de santé publique et aux professionnels de la santé du monde entier d’exiger que l’ivermectine soit incluse dans la norme de soin afin de mettre fin à cette pandémie une fois pour toutes ». A contrario, parlons du fameux Remdesivir. Je cite : « L’Union européenne a confirmé une autorisation de mise sur le marché conditionnel de l’Agence européenne du médicament pour un médicament dont elle ne connaissait pas toutes les caractéristiques », et qu’elle a commencé à acheter aussitôt. Donc avant les conclusions de l’étude en cours, ce qui, cette fois, l’arrangeait bien.
J.-L. I. : Avec le Remdesivir, on est dans l’escroquerie. Des scientifiques de l’OMS ont produit une étude en demandant à la firme Gilead de leur fournir tous les éléments nécessaires. Entre-temps, on s’aperçoit que leur produit n’est pas efficace. Cela n’a pas empêché Gilead de faire pression sur le client UE pour qu’il l’achète rapidement. C’est de la vente forcée.
K : C’est à nouveau quelque chose qui sert la stratégie vaccinale, après avoir refourgué un produit inutile et cher…
J.-L. I. : Avec l’ivermectine, vaccins et Remdesivir auraient été inutiles. Mais elle n’intéresse pas les laboratoires, qui recherchent le profit maximum immédiat. Parlons du Japon, un pays avec une forte densité de population où la contamination peut se répandre facilement. En août 2021, il y avait l’état d’urgence, et les médecins japonais, libres d’agir, ont prescrit l’ivermectine massivement ; l’épidémie a été endiguée en trois mois, comme dans 40 autres pays, du reste ! En septembre, l’état d’urgence a été levé dans tout le pays. Les journalistes de l’AFP (Agence France Presse), à la fin de 2021, osaient écrire qu’il n’y a pas de preuves scientifiques sur l’efficacité de l’ivermectine, que c’est un médicament uniquement pour soigner les parasitoses. L’AFP reçoit des subventions de l’État et des recettes publicitaires des firmes pharmaceutiques en question, ce qui lui laisse peu de marge pour la liberté éditoriale !
K : Il peut aussi y avoir une contradiction entre ce que dit le journaliste et ce qu’il fait lui-même quand il tombe malade. En Belgique, le rédacteur en chef d’un grand média s’est soigné avec l’ivermectine, alors que dans ses pages, il la dénigre. Il y a une véritable corruption généralisée endémique. Parlons de l’avocat Jean-Charles Teyssèdre, qui introduit dès décembre 2020 une demande auprès de l’ANSM pour que l’ivermectine puisse être utilisée comme traitement contre le covid-19. Il ne reçoit aucune réponse dans les premiers mois…
J.-L. I. : Teyssèdre mène un combat exemplaire. Il maîtrise très bien ce dossier. Quand il découvre les études scientifiques, qu’il vérifie les propos de ses clients, il propose de faire une demande auprès du tribunal administratif pour obtenir une recommandation temporaire d’utilisation (RTU). Une RTU se fait pour un médicament qui bénéficie déjà d’une autorisation de mise sur le marché (AMM), moins difficile à obtenir qu’une autorisation temporaire d’utilisation (ATU) inattendue qui, elle, est attribuée de manière exceptionnelle à un médicament qui n’a pas d’AMM. Étonnamment, le ministère de la Santé est convoqué pour donner son avis. Maître Teyssèdre constate alors que le ministère ne produit pas de conclusions. Contrairement au traitement qu’elle aurait appliqué à un simple citoyen, la magistrate se montre compatissante avec ce pauvre ministre très pris par ses problèmes avec la santé publique. On va attendre. Quelle indulgence ! Alors elle prend sa décision dans le délibéré et refuse évidemment la recommandation temporaire d’utilisation. Puis Teyssèdre va devant le Conseil d’État qui met alors en demeure l’ANSM de donner une réponse. Ce n’est qu’en mars 2021 que sa directrice répond qu’en raison des données insuffisamment disponibles à ce jour, elle ne peut répondre favorablement à la demande de recommandation temporaire d’utilisation. Elle souligne la nécessité de mettre en œuvre de larges études cliniques randomisées en vue de conclure sur la base d’une méthodologie adaptée à la possible utilisation de l’ivermectine dans le contexte de la maladie. Rappelons qu’en mars 2021, il existait déjà 68 études scientifiques qui concluaient l’efficacité de l’ivermectine. Ce qui veut dire que l’ANSM soit méconnaît ces études scientifiques, ce qui est grave, soit que des intérêts des laboratoires pharmaceutiques font en sorte d’éviter de parler de l’ivermectine — un médicament sûr, efficace, bon marché — pour se faire des couilles en or avec un médicament expérimental dont ils demandent d’être déchargés des possibles effets secondaires.
K : En France, l’ANSM refuse systématiquement de prendre en compte d’autres types d’études, le Haut conseil de santé publique et la Haute autorité de santé rejettent toute étude favorable. Par contre, le Remdesivir a reçu une autorisation de mise sur le marché, en seulement 20 jours…
J.-L. I. : Dans la logique de ces bureaucrates, le médicament n’étant pas efficace, il a donc son autorisation rapidement. Le vaccin Spoutnik, efficace contre le covid, est toujours bloqué, pour un tas de prétextes. Mais Pfizer a obtenu l’autorisation pour son vaccin en quelques mois. Là ce n’est plus de l’incompétence, mais de la corruption qui touche l’État. En mars 2020, Macron a créé le conseil scientifique pour le conseiller. On se demande à quoi servent les autres fonctionnaires, ceux de l’Inserm, du CNRS, de l’Institut Pasteur, qui sont assez compétents pour donner des avis. À la tête du conseil scientifique, il y a Jean-François Delfraissy, qui avait déjà fait ses preuves en 2010 quand Roselyne Bachelot, à l’époque confrontée au virus H1N1, avait fait appel à lui. Il avait déjà conseillé de vacciner les Français deux fois. Des millions de doses avaient été achetées, qu’il a fallu détruire. La Cour des comptes a fait le bilan : autour de 700 millions € ! Alors comme c’était un bon conseiller, Macron l’a repris. En France, on ne change pas une équipe qui perd ! Par contre, pas un mot sur l’ivermectine dans la documentation produite publiquement par le Conseil scientifique. Curieux de la part d’un organisme qui est là pour conseiller le gouvernement… Macron va devoir rendre des comptes sur ses deux ans de gestion de l’épidémie, pas seulement sur les vaccins, mais aussi sur la présence de McKinsey qui influence les décisions du gouvernement au profit d’intérêts privés. Nous sommes dans une situation complètement ubuesque où le vaccin russe et l’ivermectine sont écartés du marché, alors que des produits expérimentaux, dont les fabricants sont déchargés des effets secondaires (y compris la mort), sont diffusés massivement sous l’égide de l’OMS.
K : Le pouvoir a réussi à mettre en place un tel plan machiavélique qu’on peut craindre que jamais il ne le reconnaisse. Avec le risque d’aller devant la justice, ils vont tout faire pour éviter cela, sauf si les gens se réveillent. Le 17 juin 2020, la Commission européenne publie sa stratégie vaccinale contre la Covid-19 qui était déjà, selon moi, dans les cartons depuis plus longtemps. Elle propose une modification de règlement, soumis au vote du Parlement via une procédure d’urgence. Le 3 juillet, le Conseil vote le texte de la Commission, qui vise à alléger les exigences préalables au démarrage d’essais cliniques avec des médicaments contenant des OGM ; il a été adopté tel quel par le Parlement sans modification possible, sans amendements ni débats, au moment où la population traumatisée sortait d’un confinement !
J.-L. I. : Ça montre bien à quoi sert l’UE : favoriser les intérêts de Washington. Quand les représentants de Pfizer sont venus à Bruxelles pour signer les contrats, ils ont exigé que le droit américain s’applique, ce qui les décharge de leurs responsabilités. C’est une volonté hégémonique qui n’a rien d’étonnant quand on se rappelle que, depuis 1991, des milliers de tonnes de bombes sont tombées sur les pays qui s’opposaient aux impérialistes de Washington. Mais ici c’est très grave, parce que ça touche à la santé de tous. Aujourd’hui, la santé est menacée par l’Organisation mondiale de la santé ! Ses décisions sont sous l’influence de multinationales. Elle devrait au contraire alerter l’opinion publique sur le nombre de décès qui surviennent après la troisième dose. Didier Raoult précise que les risques l’emportent sur les bénéfices, pour le moment. Malheureusement, la population sert de cobayes. Demandons-nous si Gates, Clinton, les dirigeants de Pfizer, etc. n’ont pas voulu mettre en place un moyen d’éradiquer une partie de la population mondiale. Si ces vaccins ARN avaient un effet sur la composition du sang, ce serait très grave. On ne pourrait plus faire de transfusion sanguine, par exemple. Ces gens-là savaient-ils pertinemment ce qu’ils faisaient ou est-ce que le crime est apparu en cours de décision de l’OMS ? Le vaccin est expérimental, mais les lobbies mettent la pression pour imposer leurs produits à coup de conférences, de matraquage de documentation, de réunions, etc. Quand bien même ont-ils pensé que le vaccin, bien qu’expérimental, serait au bout du compte positif, le crime survient quand il y a de plus en plus de morts liés au vaccin et qu’on ne décide pas de dire STOP et de demander une enquête internationale. C’est ce que propose la chercheuse Tess Lori qui, dans un rapport à Boris Johnson, demande l’arrêt de la vaccination et une enquête sur le rapport risques/bénéfices. L’OMS sera un jour obligée d’y venir.
K : Cela aurait aussi mis à mal la stratégie vaccinale…
J.-L. I. : Oui, et il y a des précédents. Pfizer a versé plusieurs mil
liards de dollars de compensation pour éviter des procès publics. Il y a eu aussi des médicaments qui avaient une image honorable et dont on s’est aperçu des effets secondaires. Il y a quatre ans, j’avais rencontré le directeur général de l’OMS qui m’expliquait jusqu’où peut aller l’influence des lobbies. Il me dit que le budget de l’OMS, au début des années 2000, était un mélange de contributions des États-membres et de contributions volontaires. Celles-ci viennent de firmes pharmaceutiques qui proposent à l’OMS de vacciner telle partie de la population en Afrique. Des centaines de millions d’euros arrivent ainsi dans les caisses de l’OMS pour réaliser l’opération, sous la direction de Big Pharma. Mais aujourd’hui, il s’agit d’un vaccin expérimental qui pourrait entraîner une situation vraiment catastrophique au niveau mondial !
K : Vous concluez votre livre en disant que les Français ont le choix entre continuer de survivre honteusement dans le déni ou dégager ce pouvoir autoritaire qui a enfoncé la France dans une crise politique, économique, sociale et sanitaire sans précédent. C’est le nœud du problème. Ces gens qui sont censés nous diriger ne sont plus du tout au service du bien commun, mais des multinationales.
J.-L. I. : Le prochain livre que je vais sortir avec Claude Janvier au mois de mai aura pour titre Covid-19, le bilan en 40 questions. Il est conçu sous forme de fiches techniques qui traitent chacune de questions que les gens nous ont posées : qu’est-ce qu’un virus ? Le virus est-il virulent ? Le port du masque est-il dangereux ? Qu’est-ce que le taux de mortalité ? Quelle est la différence entre un vaccin ARN et un vaccin classique ? Les tests PCR sont-ils efficaces ? Etc. Je précise que nous sommes des complotistes, nous ne donnons la parole qu’à de grands complotistes qui n’ont pas accès aux médias d’information en France, des chercheurs du CNRS et de l’Inserm, des journalistes scientifiques de différentes revues, des avocats. Ceux-ci y donnent des conseils pour porter plainte, défendre ses droits, s’opposer aux mesures gouvernementales. Il y a donc un aspect informatif et un aspect pratique. Moi je travaille sur l’OMS et le crime de masse, parce que les preuves existent du lien entre le vaccin et les millions de morts. Depuis les années 2000, les choses se sont considérablement aggravées. Les vaccins, c’est là où commence le crime. Au début, la direction de l’OMS a peut-être été abusée par l’argumentaire des fabricants, mais ça ne peut pas tenir dans la durée.
K : Si vraiment ils pensaient bien faire, ils ne censureraient pas les discours différents…
J.-L. I. : Bien sûr. C’est pour ça que dans le livre, nous publions les fiches techniques qu’ont remises les fabricants de vaccins, notamment Pfizer et Moderna auprès de l’Agence européenne des médicaments pour obtenir son autorisation provisoire de mise sur le marché. Ils ont organisé la distribution massive au niveau mondial de produits expérimentaux qui ont des effets secondaires graves. C’est un crime et ça ne peut pas continuer ! Je signale aussi que les produits ARN messager sont une invention française que les États-Unis ont essayé de récupérer pour pouvoir ouvrir un nouveau marché.
K : Merci, Jean-Louis. Je pense que le moment est historique, il faut tenir, notamment en soutenant les médecins attaqués par l’Ordre.
J.-L. I. : Nexus vient de publier l’interview du docteur Gérard Baudru, qui est aussi poursuivi par le Conseil de l’ordre des médecins. Il explique qu’il faut en finir avec cet ordre du passé, une nomenklatura planquée dans ses bureaux, riche de millions d’euros de subventions.
Propos recueillis à distance par Alexandre Penasse en avril 2022, retranscrits et mis en forme par Bernard Legros
- Jean-Loup Izambert est journaliste et auteur de livres sur la crise du Covid, dont l’ouvrage concerné dans cette interview, Le Scandale Ivermectine, IS Édition, 2021.