Le 1er mai, au Bois de la Cambre (Bruxelles) et aux alentours de celui-ci, nous avons assisté à un déchaînement de violence sans précédent. Nous pensons que celle-ci constitue un message clair des politiques: « restez tranquilles », « ne vous mêlez pas de ce qui vous regarde ».
Nous avons rencontré des victimes de ces violences, qui elles, au contraire, sont d’autant plus déterminées à revenir la prochaine fois. Le 29 mai ?
Il n’y a en effet que le nombre qui peut empêcher ce que ceux qui l’exercent nomment spécieusement « un usage légitime de la force ».