Contribution extérieure

Une victime de plus

Bonjour, 

C’est avec le cœur empli de tristesse mais aussi de révolte que je vous écris.

Je viens de perdre, ce 8 avril 2022, ma fille aînée Jennifer qui aurait fêté ses 42 ans ce 13 juin.

Elle avait décidé de complètement changer de carrière et, à 40 ans, avait repris des études d’aide-soignante.

Malheureusement, pour pouvoir effectuer ses stages, elle avait été obligée de se faire injecter.

Le soir du jeudi 7 avril, elle est restée devant la télévision alors que son compagnon montait se coucher vers 23 heures. Il ne s’est pas inquiété de ne pas la voir le rejoindre car il n’était pas rare qu’elle s’endorme devant l’écran. Au matin du vendredi lorsqu’il est descendu, il l’a trouvée assise dans le canapé, les yeux ouverts, déjà un peu froide et bleutée.

Dans la panique du moment, il a appelé les secours et s’est mis à essayer de lui faire un massage cardiaque. Malheureusement, il n’y avait plus rien à faire. 

Quand j’ai appris la nouvelle, j’ai mis quelque temps à arriver et à trouver un peu de courage et nous avons pris la route, ma compagne et moi, pour aller chez ma pauvre fille Jenni, à une cinquantaine de kilomètres de chez nous.

Pendant ce temps-là, la police, le parquet et le médecin légiste étaient venus sur place.

Nous sommes arrivés vers 15h. Le légiste n’était plus là mais il n’a apparemment pas pu déterminer la cause exacte de son décès. Elle serait morte entre 5 et 6 heures du matin de « cause naturelle ».

La police était toujours sur place et nous a vivement recommandé de ne pas la voir car elle « n’était vraiment pas belle ».

Elle était allongée à terre dans le salon où les secouristes l’avaient placée, recouverte d’une couverture. La fourgonnette mortuaire est arrivée vers 16h30. Frank, son compagnon a quand même voulu la regarder. Il nous a dit qu’elle était toute bleue, les veines saillantes.

Jenni n’avait aucun problème important de santé, ni asthme, ni souci cardiaque, pas de surpoids, rien à part quelques désagréments cutanés.

Cependant, depuis 2 mois, elle disait qu’elle avait des palpitations, une sensation d’oppression au niveau thoracique, que ses mains et ses bras s’engourdissaient et étaient froids. Sa maman nous a raconté que le mercredi elle était venue lui porter 3 sacs de courses et que le simple fait d’avoir monté les escaliers pour accéder au premier étage l’avait tellement essoufflée qu’elle avait dû s’asseoir. Ça ne lui était jamais arrivé auparavant et pourtant elle avait cette habitude de faire les courses pour sa mère.

Ses copines de classe nous ont raconté qu’elle avait de subits excès de transpiration. Elle avait même pris rendez-vous chez son généraliste et devait le voir le lundi suivant !

Il est extrêmement important de savoir que tous ces maux se sont déclenchés juste après qu’on lui ait injecté la troisième dose du produit Pfizer. Je le répète, avant de se plier à son obligation vaccinale, elle était en parfaite santé cardiaque, ne souffrait d’aucune comorbidité et puis… elle n’avait que 41 ans ! Le médecin qui a constaté la mort a dit qu’elle serait décédée d’un arrêt cardiaque.

Je n’ai pas voulu demander une autopsie car je n’ai plus confiance en ces médecins « aux ordres » (ceux qui respectaient leur serment d’Hippocrate, on les a mis sur la touche). Comment être certain de la neutralité et de l’exactitude du rapport d’une autopsie faite par un praticien que nous ne connaissons pas ?

Voilà, j’aurais aimé connaître votre avis et obtenir votre aide pour m’aiguiller vers les diverses personnes et associations auxquelles nous adresser.

Ma fille a été obligée de se faire vacciner pour pouvoir trouver du travail… Elle n’aura jamais l’occasion de réaliser son rêve d’aider et de soigner les autres.

Merci de m’avoir entendu.

Marc GEROMBEAU

gerombeau@gmail.com

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