Lorsque le 27 novembre, le journaliste de Kairos est censuré en pleine conférence de presse, l’acte en lui-même répond à une logique: la manipulation de l’opinion publique visant à assurer la fabrication du consentement.
Mais ce qu’il y a de formidable dans cette censure que nous subissons, c’est que ceux qui la mettent en place cafouillent, font des erreurs. Et cela se voit.
Retour sur un cas de censure avéré, bafouant l’article 25 de la Constitution belge et la Charte de déontologie de Munich, adoptée par la Fédération européenne des journalistes. Notamment.
Partagez massivement, car ce ne sont pas ceux qui se gargarisent constamment avec leur « liberté des médias » qui vont en parler. En effet, c’est le silence de leur part depuis le 27 novembre. Leur force de frappe, c’est-à-dire leur pouvoir de diffusion et de contrôle du réel perçu, leur permet d’occulter la réalité et de continuer à nous faire croire qu’ils constituent un quatrième pouvoir, alors qu’ils sont les serviteurs des dominants.