Contribution extérieure

Quelques informations concernant la Clinique Notre-Dame de Grâce à Gosselies

Voici quelques informations concernant la Clinique Notre-Dame de Grâce à Gosselies (« CNDG »).

Dernièrement, lors d’une réunion avec les médecins/infirmiers chefs de services, la directrice Sylvie X s’est exprimée concernant l’avenir des soignants non vaccinés. Cette dernière a répondu, je cite « c’est bientôt terminé pour le noyau dur ».

Dans l’e‑mail du 22/12/2021 envoyé à l’ensemble du personnel, la directrice Sylvie X clarifie la position de la CNDG concernant l’avant-projet de loi :

« il va de soi que, à partir du moment où il sera devenu une loi, nous respecterons la loi, comme nous le faisons dans toutes nos actions. Que ce soit les mesures temporaires (tests réguliers du personnel non vacciné par exemple) ou les mesures définitives (pouvant aller jusqu’à la fin de collaboration avec les membres du personnel non vaccinés), nous les appliquerons.

La vaccination est, à ce jour, la meilleure protection pour nos patients, le personnel et toute la population contre les conséquences médicales et sociétales de cette épidémie. Elle est également le meilleur rempart contre l’effondrement de notre système hospitalier.

Nous regretterions évidemment que certains d’entre vous perdent le droit d’exercer leur métier parce qu’ils refuseraient la vaccination. Nous espérons donc que les derniers hésitants vont franchir le pas et aller se faire vacciner : c’est mon vœu pour eux pour le début de 2022. »

Que dire aussi du comportement de l’infirmière hygiéniste de l’hôpital (madame Evelyne Y) qui, depuis le début de cette pseudo crise sanitaire, est devenue une stalinienne des tests PCR envers les soignants, le personnel technique et les patients.

Cette infirmière hygiéniste n’a jamais respecté les procédures de Sciensano concernant les contacts à risque.

Les procédures de Sciensano précisent que: « un professionnel de santé n’est considéré comme un contact à haut risque que s’il y a eu un contact avec un cas COVID-19 lors des soins ou de l’examen médical à moins de 1,5 mètre de distance, sans utilisation de l’équipement de protection individuelle recommandé. »

Pourtant malgré l’absence d’un contact à haut risque avéré (tel que défini par Sciensano), les soignants se font régulièrement harceler par l’infirmière hygiéniste afin de réaliser des tests PCR.

Ceci dans le propre intérêt de l’infirmière hygiéniste, qui adore faire des tracing internes afin de savoir qui est positif (pourtant, il n’y a que la médecine du travail qui est autorisé à effectuer des dépistages collectifs).

Les soignants non vaccinés se font sermonner sans raison. L’infirmière hygiéniste (madame Evelyne Y) se permet elle-même de regarder le résultat du test PCR (réalisé au laboratoire de l’hôpital) et d’en avertir le travailleur. Le secret médical est bafoué, la protection de la vie privée n’existe pas.

Combien de test PCR inutiles et non réglementaires ont-ils été effectués !?

BEAUCOUP !

L’infirmière hygiéniste doit certainement croire que l’argent tombe du ciel !

Concernant le tracing des patients hospitalisés, chaque semaine, tous les patients de l’hôpital sont testés une fois (test PCR). Il n’y a aucun motif médical, à part que cela rassure l’infirmière hygiéniste.

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