Miss PFIZER au cœur de la tourmente

En pleine « pandémie », les peuples européens découvrirent avec stupeur que la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, avait échangé avec le patron de Pfizer, Albert Bourla, des SMS dont elle refusera de communiquer le contenu, alors qu’elle signait hors de tout cadre réglementaire, le plus grand contrat de toute l’histoire de l’institution: au moins 36 milliards d’€uros pour 1,8 milliard de doses du « vaccin ». Virginie Joron, eurodéputée, nous a reçus ce 12 janvier dans ses bureaux du Parlement, pour nous expliquer que la commission Covid-19, présidée par l’eurodéputée belge Kathleen Van Brempt, allait demander à Madame Von der Leyen de comparaître devant cette commission pour une audition. En outre, la commission Covid-19 du Parlement européen, devant le refus de son président Bourla de venir y témoigner, va également demander de révoquer les privilèges d’accès des lobbyistes de Pfizer, qui leur permet d’aller et venir dans le Parlement. 

Ce que révèlent surtout ces « affaires », en plein « Qatargate », c’est le « dysfonctionnement structurel » des institutions européennes, c’est-à-dire un fonctionnement mafieux « normal », au service de l’oligarchie. 

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