Les fous ne s’arrêteront pas

Image Pixabay

Le paradoxe est le suivant: pour pouvoir réaliser qu’on a été manipulé, il faut être peu manipulable. Aporie dont on ne peut sortir que par électrochocs.

Rien donc à attendre:

- des médias de masse, même ces journalistes qui se retranchent derrière leurs crédits et autres obligations, c’est trop tard. Le silence est criminel!

- des médecins, collaborateurs zélés d’un système qui ne seraient capables d’en prendre conscience (enfin d’être obligés de sortir de la matrice.…) qu’une fois le « Reich » tombé;

- de parents ayant poussé leur enfant à la vaccination, donc quelque part à la réduction vitale ou à la mort;

- des politiques, corrompus, même « moins » que d’autres, et meurtriers.

- de citoyens qui encore aujourd’hui continuent à obéir, même si les ordres ont disparu, et jouent le jeu de la division. Comme l’exprimait parfaitement Slobodan Despot dans la lettre magazine Antipresse: « Ils sont arrimés à cette nomenklatura dysfonctionnelle comme le client du parapente biplace à son moniteur terrassé par une crise cardiaque en plein vol »; ils chuteront donc avec elle. 

Se concentrer sur ceux qu’on peut encore toucher. Œuvrer avec les personnes authentiques, prêtes à perdre le monde dans lequel ils trouvent encore leurs avantages, pour retrouver ce qui fait la joie de vivre.

Trouver des manières de diffuser en mode guérilla médiatique, subversives.

S’accrocher, et pour ceux qui pensent encore que les premières secousses étaient accidentelles, réaliser qu’il y aura dans l’histoire un avant et un après Covid, comme pour Jésus-Christ.

Pendant que certains rêvent l’improbable réveil de ceux qui ont déjà posé sur leur esprit un linceul, Alexander De Croo discute à Davos avec le boss de Black Rock…

Bonne Année 2023 !

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