En septembre 2021, ce courriel de l’ULB fut adressé aux futurs kiné. Le chantage aux stages est tel qu’il laisse pantois. En effet, compte tenu du chantage, des élèves dans différents cursus ne pourront pas valider leur année.
Voyez plutôt:
Cette pratique honteuse est également mise en vigueur dans l’enseignement secondaire et touche les sections suivantes : assistant soin animalier ; prothésiste dentaire ; pharmacologie ; stagiaire-école maternelle ; stagiaire puéricultrice ; technicien en laboratoire de chimie ; stagiaire aide-soignant ; en maison de repos. Dès lors que les lieux de stage se font rares, les directions et professeurs d’école se permettent alors une discrimination illégale en faveur du vaccin. Outre la stigmatisation et la mise à l’écart sociale, ils broient l’avenir des jeunes.
Chaque jour, des enfants sont masqués plus de 6h00 par jour et sont stigmatisés quand ils ne portent pas le masque.
Chaque jour, des étudiants ne trouvent pas de stage, car ils ne sont pas (ou pas pleinement) vaccinés.
Chaque jour, des parents, enfants, professeurs, directions d’école, se font imposer des mesures auxquelles ils n’adhèrent pas, par peur de représailles ou de la mise au ban.
L’omerta règne.
Chaque jour, des directions d’école se battent pour offrir un enseignement complet de qualité, mais n’y arrivent plus faute de professeur (en quarantaine).
Chaque jour, des pouvoirs organisateurs et/ou communes dépensent des fortunes pour des mesures et équipements qui n’ont pas encore fait leurs preuves.
Chaque jour, vos enfants, nos enfants grandissent dans ce monde où la joie a fait place à la peur.
Chaque jour est un jour de trop pour un enfant qui perd son innocence, trompé par la confiance accordée à des adultes irresponsables et lâches.
Je ne veux plus d’une école masquée. Je ne veux pas non plus d’une école cadencée par des alarmes PPM, des fenêtres ouvertes par zéro degré, des enfants se demandant s’ils ne respirent pas trop fort et d’un purificateur d’air hors de prix, à placer et à entretenir. Je ne veux pas d’une école où les enfants sont considérés comme des vecteurs de virus et des êtres dont il faut se méfier. Je veux une école de la connaissance, de l’excellence, comme avant. Je veux une école où toute condition sociale se rencontre, avec une envie d’apprendre pour moteur. Je veux d’une école où la transmission du savoir est moteur, plus que celle d’un virus qui apeure.
Si j’en crois les dernières déclarations du ministre de la Santé, nos enfants auront une vie suspendue à un baromètre arbitraire qui ne prévoit même pas la normalité (absence de code vert). Les mesures covid font « précédent » et sont transposées dans un arrêté royal. Ce ministre soulève le couvercle mi-février et pourra le refermer à sa guise, au gré des épidémies ou de cas à venir.
L’absurde devient la règle et le bon sens est stigmatisé.
Nous devons agir vite, il s’agit de relever ce défi maintenant afin d’assurer le monde de demain.
Un projet vers l’avenir
Nous avons au maximum 6 mois pour le démontrer et démonter leur politique.
Je ne peux plus me cantonner à dénoncer, je veux proposer.
Je vous propose donc de rédiger un protocole pour l’école avec le COVID en opposition à l’école du zéro COVID de l’idéologue Vandenbroucke.
Celui-ci pourrait être proposé aux écoles et être appliqué exclusivement ou en parallèle des circulaires ministérielles.
J’ai bon espoir d’arriver à juguler les peurs et questionnements de tous, en proposant une alternative pragmatique, permettant une sortie de crise par le haut de l’école. Il ne s’agit pas d’une solution « anti » ceci ou cela, mais plutôt d’une solution réfléchie qui serait issue de concertations des acteurs de terrains et de professionnels de la santé, où le centre de l’attention redeviendrait l’enfant et l’enseignement.
- Je suis en train de récolter des témoignages de pouvoirs organisateurs, de directions d’école et de professeurs, permettant de faire un état des lieux de l’école en mars 2022. Je veux comprendre les craintes et désirs de chacun afin d’identifier les défis à relever.
- J’ai besoin de vos compétences afin de penser l’école de demain. Comment gérer les cas positifs en fonction des âges et pathologies ? Faut-il effectuer des tests, si oui lesquels ? Qui tester, quand, comment, pourquoi ? Faut-il laisser circuler le virus, si oui jusqu’à quel stade ? Quelles sont les mesures de préventions à mettre en œuvre ? Quel traitement préventif ? Quel traitement curatif ? Quid de la ventilation ? Quid des masques pour les professeurs ? Il y a un travail non négligeable à faire de compilation en matière de ce qui a déjà fait (de bien) ici ou à l’étranger. Vos compétences, connaissances et expériences nous serons précieuses.
- Le passé est passé, me direz-vous. Pas quand les mesures sont gravées dans le marbre. J’ai également besoin de vous pour étudier, commenter et analyser les mesures mises en place à l’école afin de pousser à l’introspection nos décideurs. Il n’y a que comme ça que nous pourrons éviter à nos enfants un « remake » à l’automne 2022. Il faut faire tomber les barrières qui ont été ont érigées entre élèves, entre élèves et professeurs, et de manière générale entre les écoles et le reste de la société.
L’ensemble du protocole COVID, pensé par le Ministre Vandenbroucke et mis en place par la Ministre Désir (en communauté Wallonie-Bruxelles) doit être analysé, commenté et contesté. Des dizaines de questions seront encore à poser.
Si vous pensez que tout cela est derrière nous et que la guerre est à notre frontière, détrompez-vous. Tout ceci n’est qu’une pause.
Merci,
Jérôme
Si vous êtes intéressés de participer à ce groupe de
travail, je vous remercie de me contacter par mail :
jerome.delforge@gmail.com