Témoignage

Le médecin généraliste face au vaccin: d’accord ou… d’accord

Nous avons été contacté par un médecin généraliste amené dans le cadre de sa fonction à devoir placer une de ses patientes en maison de repos. Il a accepté de témoigner sur la procédure particulière qu’il doit suivre dans le cadre de la politique de vaccination en maison de repos. Une pratique qui lui inspire celles des « régimes totalitaires ».

« Hier j’ai dû passer voir une patiente que j’ai dû placer dans une maison de repos et de soins. J’ai adapté le traitement pour ma patiente et, avant de partir, l’infirmière m’a remis une feuille pour signaler si m’a patiente devrait prendre le « vaccin anti-Covid » ou pas.

J’ai déjà lu des documents étranges, semblables, où l’on se lavait les mains sur la prise de responsabilité médicale, derrière des mots comme « Standard Operating Procedure », des termes militaires pour dire que le blindé engage son chemin, sans trop se soucier de qui est au volant, et qui est couvert par une assurance de responsabilité professionnelle médicale dans cette affaire. Je ne pense en effet pas que nos assurances professionnelles de responsabilité médicale nous couvrent pour la campagne d’administration de thérapie génique expérimentale qui est en train de se faire avec les produits de chez Pfizer et de Moderna. Nous n’avons aucun recul, donc, bien que le gouvernement et l’EMA (European Medicines Agency) soient entièrement derrière cette campagne d’expérimentation massive sur la population.

Mais le document que cette infirmière m’a remis hier soir, j’ai dû le relire, car il me semblait trop absurde. Le document me demandait d’informer m’a patiente ou sa famille au sujet de la vaccination, et puis de noter si j’avais obtenu le consentement de ma patiente sur le papier. Si je ne le faisais pas, il considérait d’emblée que ma réponse était positive.

Seulement, en dessous, il n’y avait qu’une seule case à remplir :  une case pour dire, d’une manière générale, que je donnais mon accord pour la vaccination anti-SARS-CoV‑2 de mes patients. J’avais l’impression de me trouver dans un choix offert sous une régime totalitaire, où il n’y avait qu’une seule manière de voter. »

Confronté à cette feuille de demande d’autorisation de donner le produit injectable expérimental à sa patiente, le médecin traitant a indiqué dessus : 

« [Que cela soit bien clair], Je soussigné, Dr. XXX  XXX , [N’]« autorise »« PAS » ( où le «Que cela soit bien clair »,  « N’ » et le « PAS » ont dû être ajoutés entre les mots dans la phrase) que la vaccination contre le COVID-19 soit effectuée pour mes patients. Concerne la patiente XXXXX ».

Consterné, le médecin traitant a également indiqué sur la feuille prévue pour l’autorisation de la vaccination : 

« Où est la case pour dire qu’évidemment ma patiente n’est pas candidate pour cette expérimentation ? » 

Pour s’assurer que son indication de ne pas la vacciner soit suivie par l’équipe du home, le médecin a encore mis : « Elle a déjà eu le Covid-19, lui donner ce produit est très dangereux ! »  

« C’est surtout cette dernière phrase qui a suscité discussions et inquiétude chez les infirmiers qui avaient vu le message, car dans ce Home de Repos et de Soins on vaccinait les personnes qui avaient eu le Coronavirus autant que celles qui ne l’avaient pas eu. Il y a en fait très peu de recul expérimental pour affirmer si les patients qui avaient déjà fait le Covid-19 étaient plus à risque ou non de développer des effets secondaires : ce qu’on peut raisonnablement dire, c’est que le ratio-bénéfice /risque et nettement moins en faveur de la vaccination de ces personnes ( car elles ont déjà une immunité naturelle), et qu’il y a plus de risques de créer un état douloureux d’inflammation iatrogène(1) chez les personnes qui ont récemment fait la maladie.

Le danger est de donner des thérapies géniques présentées comme des vaccins contre un Coronavirus, à des personnes âgées, sachant que ces techniques n’ont pas encore passé des épreuves précliniques sur les animaux. Cela relève d’un risque qu’on ne peut pas se permettre. La réalité est que ce virus est surtout dangereux par la réaction inflammatoire qu’il peut provoquer chez certaines personnes à risque :  cela doit être traité au cas par cas, avec les bons traitements qui existent. La solution n’est pas de « faire la guerre contre ce virus », en développant dans un temps record des vaccins expérimentaux contre un Coronavirus peu immunisant, sachant, en médecine vétérinaire, qu’on a déjà essuyé 30 ans d’échecs cuisants, et que les essais sur les animaux pour développer des vaccins contre les SARS-Coronavirus ont donné des réactions bien pires d’inflammation, quand les animaux étaient exposés à de nouveaux SARS-virus après leurs « vaccinations ». Cela relève du bon sens médical Hippocratique, qui malheureusement se perd dans nos universités de nos jours.

En tout cas, le médecin coordinateur du home était tellement outré par mes remarques sur la feuille « d’autorisation de vacciner », qu’il a pris son téléphone immédiatement et a bruyamment exprimé son exaspération contre moi, le médecin traitant récalcitrant, utilisant des adjectifs peu confraternels et exprimant son intention de porter cette attitude « non scientifique » devant l’Ordre des Médecins… »

Un médecin anonyme

Notes et références
  1. NDLR Provoqué par un médicament, par un traitement médical

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