Le courr(oux)ier de Guy d’Evras

Guy d’Evras est un.e lecteur.e, réel.le ou virtuel.le, dont personne ne connaît le genre. Bien-pensant.e, ael est toujours prompt.e à s’indigner, dénoncer, parfois insulter quand ael est très fâché.e. Fanatiques de la tolérance, nous nous faisons chaque fois un plaisir de la relayer ! Ça fait des mois que je tente de canalisé (sic) la chiasse que j’ai eue à la parution du pamphlet – Psychanalyse de l’EVRAS – dans tes colonnes, mais là, je ne peux plus la contenir. Voici donc une mise au point sur tes élucubrations d’hétéronormatif frustré du fion. Laisse-moi te dire que le « torchon » que tu cites n’est pas de Sacha Daout, mais qu’il est directement issu de ma plume de factchakeur (sic) a‑partisan. Ton jet à toi par contre, sûr qu’il a été fait par une entité cisgenre blanche ! Comment je le sais ? Dès l’intro, tu fais preuve de sexisme en faisant appel à la psychanalyse, procédé inventé par Freud qui était, faut-il le rappele …
  1. Le Crépuscule d’une idole.
  2. C’est d’ailleurs le « philosophe » transphobe (Dufour) que tu aimes tant qui l’a dit.
  3. Paix, Amour et Joie (pas le psy, grosse merde) ! (traduction de la rédaction).

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