Or how disaster capitalism invests in a « new world
In the midst of the prevailing stagnation, we see individuals, who used to live with the world as it was or even found their greatest interests in its functioning, now proposing their solutions to « change everything ». With sometimes revolutionary accents, these promoters, often from the world of finance, invest in the philanthropic sector and support a range of activities, from yoga to alternative media, through « sustainable development », « financial aid to populations or individuals in difficult situations », or « constructive journalism ». But if you dig deeper, you’ll often find the same people pulling the strings, including the ubiquitous Bill & Melinda Gates Foundation. Could it be that those who distribute the money are the new knights of the apocalypse disguised as omnipotent saviors who pretend to do something different than before, while in fact continuing to do so?*
Among many philanthropic organizations, the Lunt Foundat …
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SAP (Services and Support), est « l’un des principaux producteurs mondiaux de logiciels pour la gestion des processus métier ».
« Un homme fortuné qui dépense son argent pour les plus démunis presque exclusivement à l’aide de technologies de haut niveau renforce l’idée que le développement repose sur l’action caritative et l’»apport de solutions» aux pauvres qui reçoivent leurs faveurs des riches sans changement fondamental de la manière dont fonctionne le monde: sans mettre fin aux paradis fiscaux, sans limitation du pouvoir des entreprises et sans évolution des économies néolibérales». Voir Lionel Astruc, L’art de la fausse générosité. La Fondation Bill & Mélinda Gates, Actes Sud, 2019, pp.36–37..
Geoffrey Geuens, Tous pouvoirs confondus. État, Capital et Médias à l’ère de la mondialisation, EPO, 2003, p. 24
Ibid., p. 27
Pour avoir une idée précise de qui sont ces hommes de pouvoir que nous citons sans pouvoir en faire une large description, voir Geoffrey Geuens, Tous pouvoirs confondus. Etat, Capital et Médias à l’ère de la mondialisation, Ibid.
Pour plus d’infos sur le personnage, tapez « Reynders » dans la barre de recherche du site de Kairos.
Howard Zinn, Une histoire populaire des États-Unis. De 1492 à nos jours, Agone, 2002, p. 629–630.
Geoffrey Geuens, Tous pouvoirs confondus. État, Capital et Médias à l’ère de la mondialisation, p. 30
Ibid., p. 31
Ibid., p. 32–3320. S
https://acrobat.adobe.com/link/track?uri=urn:aaid:scds:US:0c46ea41-6a2a34cc-a86b-5d20c77ef975#pageNum=1:.https://www.trilateral.org/people/thomas-leysen/. On y trouve aussi Alexia Bertrand, fille d’un riche industriel président de DEME, elle est députée et a été chef de cabinet de Didier Reynders.
Sorte de Think Tank visant « à former la prochaine génération de professionnels de la santé et à développer les connaissances scientifiques pour contribuer efficacement au développement de technologies et de stratégies innovantes », chapeauté par l’Université Libre de Bruxelles. https://i3health.eu/
Geoffrey Geuens, Tous pouvoirs confondus. État, Capital et Médias à l’ère de la mondialisation, p. 87. Le Livre est publié en 2003. David Rockefeller est depuis décédé, en 2017.
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