UN DOCUMENT QUI APPUIE LE LIEN ENTRE L’AFFAIRE DUTROUX ET CELLE DES FAUX VISAS BULGARES

Celui qui a encore confiance en l’état de droit sera sans doute quelque peu décontenancé par ce qu’il va lire, sauf si ses intérêts privés lui enjoignent de fermer les yeux pour continuer à tirer profit de la situation, état de fait malheureusement trop courant. Le texte qui va suivre ne fait rien moins qu’établir une connexion entre la filière des faux passeports bulgares, découverte par Myrianne Coen dans les années 90, et le « réseau Dutroux ». Connexions que des personnes placées dans les hautes sphères étatiques judiciaires et diplomatiques, ont systématiquement tenté d’étouffer.

En 1996, Myrianne Coen, numéro 2 de l’ambassade belge de Sofia en Bulgarie, dénonce un trafic de visas qui a lieu à l’ambassade. Quelques années après la dissolution de l’URSS, le crime s’organise en effet autour d’anciens de la Nomenklatura et des services secrets, qui développent un trafic de visas à travers l’espace Schengen. En France, à la même époque, un afflux de prostituées d’origine bulgare à Strasbourg alerte le monde judiciaire, qui découvre que leur sont octroyés des visas d’affaires… Sur cette base, seront mis en examen un chef d’entreprise et son épouse, la personne qui délivrait les visas au consulat de France à Sofia ainsi que l’ambassadeur et le consul de France à Sofia. « La fraude découverte à l’ambassade de France et dans d’autres chancelleries occidentales est classique : les mafieux obtiennent les précieux visas grâce à des complicités internes qui fournissent de fausses invitations à voyager ou bien « oublie », contre rémunération, de vérifier le bien-fondé de la demande(1). » L’enquête française sera prompte et efficace.

Du côté belge, on n’entend parler de rien. Est-ce parce qu’il n’y a rien à dire ? Au contraire, on découvre que des centaines de visas ont été délivrés irrégulièrement, le parquet de Bruxelles reconnaissant des années plus tard que le montant de la fraude est de plus de 500.000 euros. Le trafic aurait eu lieu de 1992 à fin 2000. Myrianne Coen, qui découvre ces manœuvres criminelles, informera Bruxelles de façon répétée, mais n’obtiendra jamais de réponses. L’affaire n’a été mise à l’instruction par le parquet de Bruxelles qu’en avril 1997 : « Pendant 16 mois, quatre juges d’instruction se succèdent sans qu’à aucun moment, le principal protagoniste, l’ambassadeur Koenraad Rouvroy ne soit interrogé(2). » Lorsqu’elle décide de déposer plainte avec constitution de partie civile, celle-ci ne sera jamais instruite. Autre fait troublant, « le 7 juin 2000, le Parquet, sans motif, change la langue de l’instruction et désigne un (sixième) juge, néerlandophone cette fois. Ce qui risque d’entraîner l’annulation de l’instruction. En novembre, le Parquet reconnaît qu’entre 1995 et 1997, au moins 500 visas ont été irrégulièrement délivrés par l’ambassade de Belgique. Il apparaît que c’est l’ambassade elle-même qui organisait le trafic(3). »

Lorsqu’il sera proposé de créer une commission d’enquête parlementaire sur la traite des êtres humains qui vérifierait la politique d’attribution des visas, Louis Michel hurlera aux sénateurs de la sous-commission de l’Intérieur du Sénat : « pas question !(4)». Pas vu pas pris… « Les avocats, Jean-Maurice Arnould et l’ex-juge anti-mafia Ferdinando Imposimato estiment en effet être confrontés à une volonté délibérée de la Justice belge de ne pas vouloir instruire ce dossier ou de tout faire pour entraîner sa nullité(5). »

Le Centre d’égalité des chances, voyant dans l’affaire de sérieuses suspicions de traite d’êtres humains, décide de se joindre à la plainte. Il ne se trompe pas, la fraude aux visas alimente en effet directement le trafic des êtres humains et diverses activités mafieuses. Johan Leman, directeur du Centre d’égalité des chances, explique à l’époque : « blanchiment, prostitution, pornographie infantile, drogue et cigarettes », sont les objets de ce trafic. Il ajoute qu’un business de viande de très basse qualité a également alimenté la Bulgarie via la Belgique : les camions partaient de Belgique vers la Bulgarie et revenaient chargés de cigarettes. Mais l’ancien directeur révèle un trafic plus important, international, qui liait les deux pays : celui des armes et des diamants. Tiens, cela ravive la mémoire et nous rappelle le secteur diamantaire du plat pays, lequel a bénéficié d’une transaction pénale mise en place par l’administration fiscale belge. Rappelons succinctement que la transaction pénale élargie qui a profité à la criminalité organisée autour du diamant, a aussi permis au « trio Kazakh » de ne pas goûter au plaisir de l’insalubrité des prisons belges(6). Concernant le commerce illégal d’armes, celles-ci sont suspectées avoir transité via la compagnie Air Sofia, depuis l’aéroport d’Ostende, connu comme le lieu d’un intense trafic. Ce serait via celui-ci également que les armes achetées à la Belgique par les milices libyennes, avec une partie de l’argent des intérêts des fonds libyens libérés, seraient plus tard passées(7).

LA RÉALITÉ DU TRAFIC BELGE

« Sur base des inspections qu’a effectué le département des affaires étrangères, il y a de fortes chances qu’on a abusé de la possibilité de délivrer des visas d’office sur base d’invitations collectives d’entreprises belges », admettra devant un journaliste de la RTBF, Koen Vervaeke, porte-parole des affaires étrangères. Malgré de nombreuses évidences, de multiples indices, le fait que le Parquet et les affaires étrangères reconnaissent la réalité du trafic, personne ne sera mis en examen en Belgique. Le porte-parole éludera la question du journaliste, lorsqu’il soulèvera que « des documents à l’époque ont été signés par l’ambassadeur Koenraad Rouvroy, mais malgré cela, il n’a jamais été dérangé ». Pour récompense, ce dernier a même été nommé à l’ambassade belge de Corée du Sud par la suite…

Un haut gradé des services de renseignement bulgare confirmera les allégations de Madame Coen : « j’ai mes propres sources pour vous dire que ce trafic de visas à l’ambassade belge existait bien avant que Madame Coen ne le dénonce ; nos autorités étaient parfaitement au courant de ce qui se passait dans plusieurs ambassades occidentales (…) Dès qu’elle a dénoncé les faits, il est évident qu’on a voulu se débarrasser de Myrianne Coen(8). » Se débarasser des éléments gênants semble en effet une pratique récurrente… Lorsque Johan Leman demande l’accès au dossier, « le juge d’instruction menace aussitôt le directeur du Centre de perquisitionner chez lui(9). » Curieux, non ?

Tout ce que le Ministère des affaires étrangères fera sera de licencier une secrétaire, qui selon Myrianne Coen n’avait aucune implication dans cette affaire. Sacrifier un innocent subalterne pour sauver les coupables, pratique courante… L’avocat de Myrianne Coen, Ferdinando Imposimato(10), proche du juge Falcone, luttant comme lui contre la mafia italienne, dira: « un fonctionnaire bulgare a fait, lors d’un colloque à Bruxelles, une intervention dans laquelle il a dit: « notre mafia bulgare est en contact avec des fonctionnaires des ambassades qui se trouvent en Belgique. Cette déclaration est très grave, elle confirme ce que nous suspections, à savoir que la mafia bulgare a un très grand pouvoir et est active dans le trafic des êtres humains » (…) Des preuves existent donc bien, et face à la dénonciation de Madame Coen, il y a en plus l’inertie de la magistrature belge, et ceci est d’une gravité inouïe. La cour européenne devrait réagir à cette inertie, parce que ces trafics concernent aussi le terrorisme, la criminalité organisée, Al-Qaïda, les tragiques attentats, etc. Les trafics de visa ont l’air d’une toute petite chose, mais quand on les regarde bien, ce n’est pas seulement un trafic de visas, c’est aussi un instrument pour d’autres délits », confirmant ce que disait le sénat belge en 1999: « les trafics de document sont le fil rouge de la criminalité organisée ». L’ex-juge confirme que « la mafia achète des diplomates, le personnel des ambassades, des hommes politiques pour gérer le trafic de visas, si utile dans le commerce des êtres humains. La fraude s’opère surtout dans les ambassades de Belgique, de France, d’Allemagne et d’Italie. Elle rapporte entre 30 et 50 millions de dollars(11). »

« Des preuves existent donc bien, et face à la dénonciation de Madame Coen, il y a en plus l’inertie de la magistrature belge, et ceci est d’une gravité inouïe »

On savait que le terrorisme était surtout pour nos États un nouveau moyen permettant de durcir la répression vis-à-vis d’organisations et d’individus dont la contestation sortait du cadre qu’ils avaient politiquement défini. Ce qu’on sait par contre moins, c’est que ces pratiques mafieuses d’État, pléonasme s’il en est, ont des liens troubles avec le trafic d’enfants et la pédocriminalité.

LES CONNEXIONS ENTRE L’AFFAIRE DUTROUX ET LE RÉSEAU BULGARE

Malgré le constat que vols de voitures, prostitution, trafic de stupéfiants, armes et pédophilie sont liés, l’argent n’ayant pas de limites, la procureure générale de Liège de l’époque voudra séparer ce qui semblait pourtant de l’ordre du même. Elle déclare ainsi que le dossier 87/96 du trafic de voitures dans l’affaire Dutroux ne pourra sans doute pas rester à Neufchâteau. « Pour Anne Thily, le volumineux dossier des meurtres d’enfants ne doit pas être inutilement alourdi par les trafics de voitures, de drogue et d’armes ». Elle va donc donner l’ordre de scinder l’enquête, forme de gruyèrisation bien connue qui permet de ne pas faire aboutir une enquête, dont une pratique consiste à démanteler de manière récurrente le personnel en charge du dossier. Ainsi, l’instruction a été recommencée six fois, remettant chaque fois tout à zéro et faisant perdre un temps énorme et précieux à la procédure. Lorsqu’un journaliste demandera à l’avocat belge de Myrianne Coen, maître Arnould : « On tente d’étouffer cette affaire selon vous ? », celui-ci répondra : « Il y a des dossiers qui accusent des retards anormaux en Belgique, nous le savons, mais celui-ci a une particularité, c’est que le retard ne résulte pas d’une affaire qui n’est pas élucidée. Nous avons une affaire qui est claire à mon sens, où des suspects existent, et où ils ne sont même pas interrogés… Alors, bon, je vous laisse répondre à la question que vous avez posée ». Dans cette logique, Myrianne Coen, qui dénonce des faits délictueux, est rappelée à Bruxelles, alors que l’ambassadeur restera en place… Rien à ajouter.

Johan Leman constate, à propos des révélations de Myrianne Coen : «90 % de ce qu’elle m’a dit et que j’ai pu vérifier, s’est révélé vrai ». Mais pour l’État, vérifier implique le risque de révéler, et des implications, il y en a…. Le document d’ambassade présenté ci-dessous reprend deux requêtes envoyées par Marc Schulman, l’administrateur de la SPRL Vidéo Promotion, à l’ambassadeur de Sofia à l’époque. Dans ces courriers, Schulman appuie la demande pour de visas d’hommes d’affaires bulgares, notamment celui de Mihail Petrov Mihaylov du groupe Nova Telvisia, dont la troisième page de notre document montre qu’il ne joue pas dans la cour des petits.

Jusqu’ici, rien de particulier qui sortirait du cadre de trafic de visas. Mais Marc Schulman(12) est plus intéressant que cela. Par son frère Charles d’abord : « Le 21 octobre 1983, une lettre de Charles Schulman arrive à la prison de Melin, en France. Charles Schulman est belge, professeur, et dirige le service d’urologie de l’hôpital Erasme à Anderlecht. Dans sa lettre, écrite sur papier à en-tête de l’hôpital et adressée à l’administration pénitentiaire, Schulman plaide en faveur de la libération conditionnelle de Weinstein. Il promet qu’un collègue psychiatre le prendra sous son aile en Belgique. On ne sait pas si ce plaidoyer y est pour quelque chose, mais le 6 novembre 1985, après avoir purgé près des deux tiers de sa peine, Weinstein est libre. Lorsque Schulman est entendu début 1997, il admet immédiatement qu’il n’a jamais été question d’un quelconque suivi psychologique en Belgique. Il explique qu’il a écrit cette lettre sur l’insistance de son épouse: Mireille, la sœur de Bernard Weinstein(13)… » Bernard Weinstein, vous vous souvenez, un des protagonistes de l’affaire Dutroux…

« Le 28 novembre 1985, trois semaines après sa libération, Bernard Weinstein arrive en Belgique. Mireille vole à son secours. Le 1er décembre, il est engagé dans la SPRL Vidéo Promotion, qui appartient au frère de Schulman, Joseph (« Marc »). La société, établie dans un entrepôt désaffecté des Acec, au 167, rue Marconi à Forest, s’occupe surtout de copier des vidéocassettes. Vidéo Promotion a transformé une partie de l’immeuble délabré en studio de prises de vues. « Weinstein travaillait là comme copieur de vidéos, dans l’équipe de nuit », se souvient Joseph Schulman, qui pour le reste ne se rappelle pas grand-chose, dix ans plus tard. « C’était un homme renfermé, toujours seul, avec un désintérêt absolu pour tout ce qui touche au sexe », déclare l’ancien gérant, qui sait de quoi il parle, lui qui déclare avoir fréquenté le milieu bruxellois des partouzes dans les années 70. Schulman dit encore que ses sociétés n’ont jamais fait de pornographie, mais il ne sait pas si Weinstein a travaillé, en dehors de ses heures de service, pour son propre compte(14). »

Ces révélations, dignes d’un polar, ne s’arrêtent pas là : « Le petit empire de sociétés de vidéo dirigées par Joseph Schulman va susciter l’intérêt des enquêteurs de Neufchâteau, début 1997. Le même Schulman est également administrateur délégué de la SPRL Audio Corporation, qui exploite, au début des années 80, un studio d’enregistrement au 86 de l’avenue Molière, à Uccle. Le monde est petit: c’est le studio dont Jean-Paul Raemaekers a dit, en 1995, qu’on y tournait des films pédophiles dans les années 80 ». Tiens ? « Coïncidence encore, l’immeuble est racheté en 91 par le pédiatre bruxellois Claude C. C’est le médecin chez qui Annie Bouty et Michel Nihoul faisaient soigner leurs enfants. Parfois même, le monde est encore plus minuscule. L’avocat bruxellois Michel Vander Elst, à peine libéré après sa condamnation pour son rôle dans l’enlèvement de l’ancien premier ministre Paul Vanden Boeynants, intervient régulièrement en tant que conseil de la SPRL Audio Corporation. Aux yeux du procureur Michel Bourlet, début 1997, il est surtout celui qui donne un alibi à Michel Nihoul pour l’enlèvement de Laetitia Delhez et, de surcroît, son nom apparaît plusieurs fois dans les dossiers connexes de l’affaire Dutroux. Début 1997, onze perquisitions ont lieu chez les frères Schulman, leurs associés, les sièges de leurs sociétés de vidéo et leurs coffres en banque. Dans une des sociétés, on trouve un indice de fraude fiscale – via la KB Lux –, mais aucune trace du commerce de pornographie initialement soupçonné. » Ça va alors… toutes ces mauvaises langues, à voir la pédophilie partout ! Même la plupart des journalistes qui enquêteront sur ces sujets, concluront généralement des divers témoignages impliquant de personnes haut placées, l’expression d’actes mégalomaniaques ou visant à se protéger.

Ah, encore une chose à préciser : selon nos sources, les documents envoyés à l’ambassade belge par Marc Schulman, étaient connus par le Ministère des Affaires étrangères depuis 1997, qui en disposera par après dans ses archives, et la justice les aurait en sa possession depuis 1998. Didier Reynders, qui fut ministre des Affaires étrangères s’est aligné sur le silence et l’inaction de ses prédécesseurs.

FAUX ÉPILOGUE

Lorsque nous étions adolescents, les drames des enlèvements qui frappèrent la Belgique étaient trop inimaginables pour nos jeunes esprits, alertes, mais encore pétris de naïveté sur le monde que nous n’allions pas tarder à découvrir. Ce que nous entendions sur « Julie et Mélissa » s’exprimait le plus souvent sous la forme de « blagues ». Mauvais goût, dont nous nous disons aujourd’hui qu’elles sont une injure aux parents qui ont subi sans doute la pire des douleurs qui puisse être. Mais nous n’étions pas méchants, nous faisions de l’humour pour écarter l’indicible… nous riions pour ne pas en savoir plus.

D’autres ne veulent pas qu’on en sache plus, mais pour d’autres raisons. On peut blâmer les jeunes et les erreurs, mais il est plus utile de montrer comment ceux qui auraient pu dévoiler les coulisses de l’horreur, ont tout fait pour que le silence demeure, et que la Belgique, ses castes, ses criminels, demeurent impunis. Derrière la figure du monstre (Dutroux), se cache tout un système, qui s’est lui-même investi pour ne pas qu’on le découvre.

En somme rien n’a été réglé pendant et après l’affaire Dutroux, et la stigmatisation de ceux qui osaient douter derrière les traits du « complotiste » a éteint toutes velléités de contester la thèse officielle. S’il est divertissant de regarder les films avec Don Corleone, la réalité belge est suffisante. Comme le disait un des avocats de Myrianne Coen, Ferdinando Imposimato, fin connaisseur des pratiques mafieuses italiennes pour les avoir attaquées juridiquement,

la mafia est devenue dans notre pays aussi forte qu’en Italie et les institutions belges sont profondément infiltrées par celle-ci.

« L’affaire Dutroux » n’est pas finie. Tout reste à faire.

Éric Arthur Parme, Guillaume Bordde, Sacha Aspen.

Notes et références
  1.  Les visas du crime, Michel Hucorne, Philippe Lorsignol, RTBF. Toutes les citations non référencées qui suivent sont issues de ce documentaire.
  2. « Trafics de visas sans trafiquant, les menaces de Michel », Le Soir, https://plus.lesoir.be/art/traite-des-etres-humains-un-dossier-judiciair….
  3. Ibid.
  4. Ibid.
  5.  Ibid.
  6. « Bienvenue en ploutocratie: Kazakhgate, Afrique, réseaux… le MR à tous les étages », Kairos. http://www.kairospresse.be/article/bienvenue-en-ploutocratie-kazakhgate-…
  7. Voir « De qui se moque-t-on ? Sur Reynders et les affaires entre amis ». http://www.kairospresse.be/article/de-qui-se-moque-t-sur-reynders-et-les…
  8.  Myrianne Coen aurait fait l’objet d’une tentative d’assassinat, pour laquelle aucune enquête approfondie n’a non plus été menée.
  9.  « Trafics de visas sans trafiquant, les menaces de Michel », Le Soir, https://plus.lesoir.be/art/traite-des-etres-humains-un-dossier-judiciair…
  10. Voir le fichierWikipedia sur Ferdinando Imposimato, https://fr.wikipedia.org/wiki/Ferdinando_Imposimato#Le_Groupe_Bilderberg…
  11. Fraude : un ancien juge italien s’en prend à Louis Michel, Le Soir, https://plus.lesoir.be/art/%252Ffraude-un-ancien-juge-italien-s-en-prend…
  12. Qui dans le document ci-dessous, pour des raisons inconnues (un second prénom?) est appelé Joseph, mais est le même, car tous « deux » sont les patrons de Vidéo Promotion).
  13. Les dossiers X, ce que la Belgique ne devait pas savoir sur l’affaire Dutroux, EPO, 1999, p. 37.
  14. Op. Cit.

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