Ce 12 décembre, l’avocat de Kairos remet ses conclusions dans l’affaire Kairos vs Google.
ll y a plus de deux ans, en juin 2021, YouTube retirait de notre chaîne le Grand Débat, une tentative d’ouvrir le dialogue, en plein événement Covid-19, invitant « experts officiels » et politiques, qui tous refusèrent… de discuter avec nos invités (Martin Zizi, Alexandra Henrion-Caude, Vincenzo Castronovo, Kaarle Parikka, Julie Michotte, Frédéric Goareguer, Louis Fouché).
Nous contrevenions au « Règlement de la communauté » de YouTube, selon ses propos ? Mais selon quels critères une plateforme hébergeuse de contenus censurait-elle des scientifiques et travailleurs de terrain sur base de « règlements » d’une « communauté ? Quelle communauté ? Quelle règles ? Et quelles valeurs derrière une plateforme qui se défendait d’être éditrice (ne sélectionnant donc pas les contenus qu’elle diffusait) ?
Plus tard, alors que Kairos était en pleine procédure judiciaire contre Google, YouTube fermait définitivement notre chaîne, pour les mêmes raisons.
Aujourd’hui, le présent éclaire le passé pour rendre ce que nous comprenions déjà à l’époque encore plus évident : il fallait faire taire toutes voix dissidentes afin que le remède proposé (l’injection appelée « vaccin ») paraisse miraculeux et que se crée l’illusion d’un consensus.
Qui pourtant aujourd’hui peut encore croire que YouTube-Google-Alphabet se souciaient du bien commun avant toute chose ? Alors qu’y accorder la plus grande importance aurait consisté à laisser toute parole se faire entendre. Car qu’est ce qui concourt en fin de compte le plus, au bien commun, que la liberté d’expression ?
Il est évident aujourd’hui que YouTube a été un outil de propagande essentiel dans le narratif officiel du Covid, et que dans cette tâche d’éditrice de contenus, la plateforme devait censurer un média comme Kairos. De ce fait, en privant des personnes de s’informer, elle a nécessairement influencé leur comportement, alors qu’elles auraient pu agir autrement si elles avaient entendu d’autres voix.
Vu les nombreux effets secondaires des vaccins aujourd’hui connus, dont la mort prématurée, les AVC, crises cardiaques, turbo cancers… ces choix ont pu leur être fatals.
Nous respecterons toujours le premier devoir du journaliste, repris dans la Charte de Munich : « Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce en raison du droit que le public a de connaître la vérité ».
Ce qui se joue dans ce procès n’est rien moins que la liberté de la presse ainsi que le droit à la liberté d’expression qui doit être poussée à son plus haut point afin de permettre, comme le disait George Orwell, de « dire aux autres ce qu’ils n’ont pas envie d’entendre ». A ce titre, on comprend pourquoi les fabricants de vaccins et leur service de propagande, n’ont aucun intérêt à la liberté de la presse et la liberté d’expression, lesquelles pourraient nuire à leur stratégie marketing, et donc déplaire aux actionnaires.
Merci à ceux qui nous soutiennent !
Vive la presse libre !