Eric Ménat, médecin généraliste, diplômé en diététique, enseignant en phytonutrition, nous explique
comment la peur a pétrifié les médecins, qui ont obéi comme un seul homme, laissé des patients devant la porte, sommés de rentrer chez eux. Or, outre que la peur soit immunodépressive, elle a aussi permis la ruée des populations sur les vaccins, pour une maladie soi-disant sans remède (condition pour que la vaccin reçoive une autorisation de mise sur la marché…). Si dans les textes officiels, il n’y a qu’une seule méthode préventive : la vaccination, il existe pourtant de nombreux traitements préventifs qui stimulent l’immunité et protègent contre de multiples maladies, alors qu’un vaccin (celui contre la grippe par exemple), ne protège (s’il protège…) que contre une maladie. L’événement Covid-19 est aussi et surtout le symptôme d’une société occidentale qui n’a eu foi qu’en la médecine chimique. Or, et Eric Ménat est bien placé pour le savoir, la prévention est la clé : parmi sa patientèle, seul trois sur mille ont dû aller à l’hôpital, car ils ont été soignés trop tard et n’ont pu bénéficier du traitement ambulatoire précoce (TAP). Il a reçu des centaines de patients une seule fois en traitement préventif, qui auparavant étaient malades à de multiples reprises pendant l’hiver, et ne le sont plus jamais depuis : ni grippe, ni bronchite, ni angine… Mais la prévention ça ne rapporte pas aux grosses boîtes pharmaceutiques, alors que la population et la sécurité sociale se porteraient bien mieux si elle était généralisée. Tiens, cela sonne comme un air déjà connu…
Julian Assange
651 weeks of deprivation of liberty for telling the truth